Le jeudi 19 mai 2011

ÉconomieQuébec

TrensQuébec: un monorail révolutionnaire basé sur le moteur-roue

Le monorail, un projet rassembleur, économique et rentable en moins de 10 ans

Par Jean-Pierre Plourde

Une pétition est en cours pour la réalisation du projet de monorails au Québec. Il y a des milliers d’emplois à la clé, c’est un projet motivant et rassembleur, capable de nous permettre de retrouver notre fierté des années soixante lors de la création de l’Hydro-Québec sous René Lévesque. Le moteur roue de l’Hydro y trouverait sa place.

À partir de maintenant, je vais tendre à moins parler de politique et beaucoup plus de la vie et de l’économie. Voici un premier pas dans la bonne direction. Je vous demande à tous de vous rendre sur le site indiqué plus bas et de signer cette pétition, vous y verrez un petit vidéo explicatif.

C’est un projet qui réunira les corps et la tête des Québécois et qui fera réfléchir les Québécois par les difficultés politiques qu’on va nous mettre dans les pattes, mais on doit le faire et croire qu’on va réussir.

Si vous répandez ce projet sur Twitter, Facebook et chez tous vos amis, on pourrait ramasser un bon million de signatures.  OK, on a présentement moins de 200 signatures, mais il faut le faire connaître et le distribuer.

Si vous désirez savoir pourquoi ce projet est important, alors lisez mon texte qui suit et les informations sur ce site dans la colonne de gauche. Pour voter, entrez sur le site, cliquez à gauche sur l’encadré rouge et répondez aux questions.

De brillants chercheurs et ingénieurs travaillent activement sur ce projet, aidons-nous et travaillons ensemble.
Ce projet va nous aider à comprendre le fonctionnement de l’économie et de la politique. C’est un bonne façon d’oublier nos différences, on en a bien besoin.

Je ne suis pas l’initiateur de cette pétition. Je m’en fais le promoteur sans réserve. Voici mon texte sur ce projet.


Le monorail, un projet rassembleur, économique et rentable en moins de 10 ans

Une heure pour Montréal-Québec, centre-ville à centre-ville, ça vous dirait? C’est plus rapide que l’avion qui nous débarque à 1 heure de trajet du centre ville de Montréal. Montréal-Saguenay 2 ½ heures, suivit par Montréal-NewYork où l’on a plus d’amis qu’à Toronto, c’est pas beau cela? Et ce, à une fraction du coût du TGV Français.

Avec ce projet, on désengorge Dorval (PET).

On doit prendre des initiatives, il ne faut pas se laisser continuellement démoraliser, ressaisissons-nous! Il est temps de créer, c’est cela la vie, embarquons pour tuer la morosité, il faut tuer l’ennui et continuer à s’instruire en changeant de méthode.

Une pétition est en cours pour la réalisation du projet de monorails au Québec. Participons tous ensemble, on doit rejoindre tout le monde sur le net, faites circuler sur Twitter, Facebook, vos blogues et autres.

Il y a des milliers d’emplois à la clé, c’est un projet motivant et rassembleur, capable de nous permettre de retrouver notre fierté des années soixante lors de la création de l’Hydro-Québec sous René Lévesque. Le moteur roue de l’Hydro y trouverait sa place.

J’ai écrit plusieurs textes passionnés sur des sujets comme le moteur roue, le/les monorail(s), les éoliennes, l’automobile, même le chauffage au bois et bien d’autres. Le monorail est un projet rassembleur: osons, pour la première fois depuis René Lévesque.  Tous les Québécois pourraient de nouveau sympathiser et tirer tous ensemble dans la même direction au lieu de se tirer dans le pied comme le fait inconsciemment bazzo.tv avec ses émissions tendancieuses du genre « Faut-il fermer les régions ».

Le monorail est le moyen de transport le plus économique et le mieux adapté pour le Québec et nos climats rigoureux. Le monorail est silencieux et sans pétrole. L’infrastructure est beaucoup moins dispendieuse que le train régulier du type TGV parce qu’il est entièrement construit en usine, il n’occasionne aucune traverse à niveaux, il s’adapte aux infrastructures des villes. Le monorail occupe un minimum d’espace au sol.

A vitesse réduite d’approche urbaine, il pourrait  traverser la ville sans nécessiter l’expropriation de citoyens. Il peut circuler au dessus des terre pleins, des trottoirs et autres structures routières régulières, même au dessus des voies ferrées régulières au sol. Il peut enjamber les rivières pour moins cher qu’un pont ou contourner les obstacles sans nécessiter de creuser de tunnels. Il peut déposer les passagers au centre ville sans être inquiété par le trafic en dessous ou les lumières de rue.

Le coût d’entretien des voix est très inférieur à celui du train régulier ou de l’entretien des routes: pas de déneigement, pas d’usure et  de réfection d’asphalte, pas de poids lourds pour ralentir le trafic, etc.

Guidé par GPS, il pourrait circuler même en plein verglas ou lors de tempêtes de neige opaques. La distance entre les navettes étant gérée par satellite, si une navette s’arrête, toutes celles qui sont derrière le font aussi. La glace n’a pas prise sur la structure car les câbles d’alimentation électrique et les roulements sont cachés sous la structure intérieure, deux couteaux déflecteurs montés sur le devant des navettes pourraient couper et dévier les glaçons pendant de la structure. Si l’on chauffe les parois extérieures des cabines  lors de verglas, la glace ne pourra s’y accumuler ou bloquer les portes d’accès. Des capteurs de température et d’humidité couplés avec un senseur indiquant l’augmentation du poids de la navette pendant qu’elle roule pourrait déclencher le chauffage des parois afin de dégager la glace qui s’accumule et s’assurer que les portes demeureront dégagées.

Le monorail comprendra deux sens uniques sur les mêmes piliers. Le TGV Français haute vitesse requiert deux rails séparés pour assurer le service dans les deux sens. Le monorail, lui, est construit sur des piliers et ces piliers supportent les rails dans les deux directions, il pourra traverser des terres agricoles avec un minimum d’impact.
De Québec, une navette à destination de Drummondville s’y arrêtera alors que l’autre en direction de Montréal continuera son chemin. La navette partant de Longueuil par exemple, prendra sa place dans le cortège des navettes vers Québec ou le centre ville de Montréal afin de décongestionner le métro aux heures de pointes.

La vitesse du monorail sera limitée à 250 km/heure, cette vitesse permettra aux navettes d’accepter des angles plus prononcés que le TGV. Les risques d’obstructions des rails par des animaux ou des objets sont très peu probables.
Guidées par GPS, les navettes pourraient se succéder à cinq kilomètres de distance. En cas d’incident sur l’une des navettes, toutes les navettes situées sur la même ligne s’arrêtent ensemble et respectent automatiquement les distances entre elles.

Lorsqu’une navette arrive à sa destination elle prendra une voix de contournement, réduira sa vitesse pour atteindre sa destination en toute sécurité alors que les autres qui la suivent continueront leur trajet sans en être trop affectées.

Grâce au GPS, le monorail pourrait-être complètement automatisé, en particulier les navettes transportant de la marchandise au lieu de passagers, un marché très important.

Dans les courbes, le monorail se penchera dans le sens de la direction du mouvement.

On ne peut pas faire passer économiquement un train régulier dans le parc des Laurentides ou de la Vérendry. Le train rapide régulier au sol doit avoir des courbes très étendus, il nécessite une faible pente et le percement de tunnels dans les montagnes.

Le monorail peut prendre place entre les deux voix de l’autoroute 20, de la 40 , de la 70 ou de la 15. Avec un dégagement  de  30 pieds le séparant du sol, il est sans danger pour les gros camions qui pourraient traverser d’une voix à l’autre lors de travaux routiers qu’il enjambe sans retard. Une borne au sol disponible aux travailleurs pourrait imposer l’arrêt complet du trafic en cas d’incidents pouvant risquer la vie des passagers, une grue qui aurait accidentellement frapper la structure par exemple.

Le monorail ne consomme aucun pétrole, il utilise l’énergie de l’Hydro-Québec, dilapidée par Charest et qu’on devra se réapproprier à condition de se reprendre en main et de croire en nos capacités.

Avec ce projet, on pourrait créer des milliers de nouveaux emplois pour nos jeunes et assurer l’avenir de nos centres de recherche que Charest travaille à angliciser. Partout au Québec, les subventions à la recherche ont été réduites par l’alliance Charest et fédéraux y compris au centre de recherche de Varenne près de Montréal. Ce n’est pas comme cela qu’on va construire un avenir pour nos enfants.

A défaut de se prendre en main, les Québécois devront se résigner à quémander à nos gouvernements, maintenant devenus étranger, de nous aider à réaliser nos projets avec nos taxes. Comme pour les éoliennes, le gaz et le pétrole du St-Laurent, à part quelques emplois, le profit des retombées sera plus que jamais réservé aux amis du pouvoir et dirigé vers des étrangers comme c’est le cas de la Caisse de Dépôt.

Pour réussir de grands projets nous avons besoin de nos impôts. Il nous faudra plus que jamais fonctionner par l’information aux citoyens, des pétitions massives et des manifestations sont maintenant devenues nécessaires pour faire travailler une partie de notre économie pour nos intérêts.

Un projet comme celui du monorail devrait rencontrer l’aval des Montréalais comme celui des régions.

Le gouvernement Charest et les fédéraux se réserveront la plus grande part de notre gâteau, ils l’ont démontré dans la gestion quotidienne et la déviation de nos ressources et actifs vers des amis fédéraux. Il nous faut changer cela et se réapproprier nos centres de recherches, nos institutions financières, nos territoires, le contrôle de notre eau, mines et autres ressources.

Si l’on ne se reprend pas en main, la décision politique des Québécois (vote NPD du 2 mai) fera tomber la seule barrière qui nous protégeait contre l’assimilation. Il y aura un impact négatif énorme sur la création de nouveaux emplois pour nos communautés et nos descendants.

Nous avons démocratiquement et collectivement abandonné la seule opposition réelle du Québec à notre assimilation.

Les députés NPD du Québec sont minoritaires dans les décisions de ce parti. La ligne de partie pro-canadienne du NPD sera toujours en notre défaveur, le NPD l’a démontré lorsqu’il a voté en faveur du rapatriement unilatéral de la Constitution de 1982,  lorsqu’il a travaillé contre l’entente du Lac Meech et de bien d’autres choses irrespectueuses pour le Québec.

Je vous répète l’adresse de la pétition: http://www.trensquebec.qc.ca

Merci de me lire,
Jean-Pierre Plourde

10 commentaires à cet articleFlux RSS des commentaires

  1. 1 Jean Rousseau Le 20 mai 2011 à 12h31

    “À partir de maintenant, je vais tendre à moins parler de politique et beaucoup plus de la vie et de l’économie” (J-P Plourde).

    Excellente décision.

    Vous êtes parvenu à rendre ce projet de transport aussi captivant que ce récit de Jules Vernes ; Le tour du monde en 80 jours.

    Jean Rousseau, B. Ps
    Coach de talents
    Courriel : jeanrousseau1956@live.ca

  2. 2 Jean-Pierre Plourde Le 20 mai 2011 à 16h10

    Bonjour M. Rousseau;

    Je m’excuse auprès des nombreuses personnes qui me laissent des commentaires présentement.

    Je n’ai pas de commande pour me permettre d’accepter ou de refuser les commentaires, ils n’apparaissent donc plus au bas de mes articles.

    Contrairement à Jules Vernes, le TrensQuébec est un projet bien réel et facilement réalisable.

    Un avenir en or, une alternative qui pourrait permettre aux pays africains de se le payer.

    Jean-Pierre Plourde.
    http://saglacweb.blogspot.com

  3. 3 Jean-Pierre Plourde Le 20 mai 2011 à 21h06

    Message de Jean-Rousseau

    “À partir de maintenant, je vais tendre à moins parler de politique et beaucoup plus de la vie et de l’économie.” J-P Plourde

    Excellente décision.

    Vous êtes parvenu à rendre ce projet de transport aussi captivant que ce récit de Jules Vernes ; Le tour du monde en 80 jours.

    Jean Rousseau. B. Ps
    Coach de talents

  4. 4 Un monorail pour la ville de Québec serait mieux qu'un tramway - AmériQuébec Le 6 juin 2011 à 20h53

    […] travaillant avec nous pour la construction du monorail “trensquebec”, vous aurez une population d’environ 3 millions de personnes demeurant à une heure de trajet […]

  5. 5 Eric Messier Le 6 juin 2011 à 21h34

    Je me demande comment vous feriez accepter le moteur-roue inventé par M. Couture, quand on sait que l’industrie a tout fait pour tabletter cette invention.

    Ou bien je pose la mauvaise question?

  6. 6 Jean-Pierre Plourde Le 7 juin 2011 à 1h00

    Bonjour M. Messier.

    Parce que le moteur-roue est repris dans le monde par plein d’autres investisseurs.

    Ce moteur représente une énorme réduction dans le gaspillage d’énergie pour produire le mouvement actuellement généré par des transferts mécaniques indirect.

    Dans une voiture à essence conventionnelle, une grande quantité de l’énergie produite par le moteur est perdue en chaleur par friction dans la transmission, le différentiel, par la combustion interne du moteur vers le radiateur, etc., toute cette énergie ne sert pas pour produire du mouvement, c’est du gaspillage.

    Le moteur-roue représente l’avenir de la pile à combustible qui sera la prochaine révolution dans la production d’énergie, cette “pile” existe déjà, elle converti l’hydrogène et l’oxygène en eau, la réaction produit de l’énergie électrique, la pollution est nulle.

    Chacun est libre de choisir l’avenir qu’il veut pour ses enfants.

    Le gouvernement Charest nous réserve des “jobs” de “creuseurs” de trous dans son plan nord dans un gaspillage de ressources sans retombés.

    Le monorail créera près d’une centaine de milliers d’emplois dans les 10 premières années, de bons emplois avec un avenir et une continuité dans le temps.

    D’autres développements vont en découler.

    Vous et moi roulerons dans ce monorail dans un prochain avenir. Il sera produit par nous, où, il sera fabriqué ailleurs, il nous sera vendu et d’autres empocheront les emplois et les profits.

    Si les Québécois choisissent le monorail, il y aura un effet social tonifiant. En réduisant les distances, on rassemble les Québécois. Québec, Montréal et régions deviendront des banlieues. Les jalousies vont se réduire entre citoyens.

    L’opposition Montréal contre régions fut médiatiquement planifiée, de 2003 à 2010, les médias créaient artificiellement chez les Montréalais l’idée que les gens en dehors de Montréal sont une charge sociale pour eux, ex. Bazzo.tv, “Faut-il fermer les régions”. Une attention particulière fut prise pour ne pas renseigner les Montréalais sur les centaines de milliards en investissements que les Montréalais possèdent dans les régions. Maintenant que le message est passé, le même gouvernement fait la promotion que le plan nord c’est maintenant l’avenir de Montréal, voir, http://www.ameriquebec.net/actualites/2008/09/24-montreal-le-traite-de-lapproche-commune-va-te-faire-mal-2.qc

    On a terriblement besoin d’un projet d’avenir et non de gaspillages de fonds dans des projets improductifs.

    Les Québécois ont l’occasion de parler d’une seule voix.

    Voir le vidéo sur les économies générés par l’impact qu’aura le monorail sur les importations de pétrole du Québec à cette adresse: http://www.ameriquebec.net/actualites/2011/05/23/le-monorail-un-projet-dont-la-rentabilite-est-garantie-adapte-a-nos-besoins-6465.qc

    Il se crée présentement deux types de démocratie sur la planète:

    1. La première est celle du nombre, représenté par le choix des citoyens de choisir leurs élus;
    2. La seconde est celle des pouvoirs délégués aux élus emprunté des citoyens dont les multinationales prennent le contrôle partout sur la planète au dépend de la première. Les actifs et intérêts des peuples sont déviés vers les intérêts des multinationales.

    Aujourd’hui, la démocratie du nombre n’existe qu’en théorie. Les citoyens refusent d’assumer leur droit de souveraineté sur leurs élus. Les citoyens ont le devoir de mettre à la porte tout élu qui travaille contre leurs intérêts.
    Dans le privé, si un directeur triche, il est mis à la porte sur le champ, les citoyens n’ont pas compris que ce rôle leur appartient aussi. Un problème d’éducation.

    Actuellement le pouvoir délégué dévie les intérêts des citoyens, ils ne sont plus une priorité.
    C’est ce que j’appelle: La mondialisation.
    C’est un trou dans la connaissance des citoyens de leurs droits.

    En laissant faire, sans le savoir, les citoyens préparent les prochaines guerres.
    L’exemple du réveil des peuples est présentement donné par l’Égypte, le Yémen, la Libye, etc.
    Je crois que les USA, le Québec et le Canada lui-même en viendront là un jour pas si lointain. Un désastre écologique est en préparation.

    Les partis politiques financés par les multinationales s’emparent des actifs des peuples pour afin que ces actifs deviennent à leur service, Hydro, Caisse de dépôt, etc. tout va y passer.

    Ils sont prêt à tronquer les élections dans ce but précis, une promesse de réduction d’impôts d’un milliard de dollars par année pendant cinq ans, ça doit certainement vous dire quelque chose?, retrouvez le vidéo ici: http://www.drole-video.com/communication-politique-charest.shtml

    Toute la gestion du gouvernement jusqu’à maintenant nous démontre le contraire de l’intérêt qu’il disait porter envers les citoyens lors de son élection.

    L’avenir de l’humanité est en danger, les Québécois ont le choix de se laisser mourir ou de foncer. C’est ce second choix que je vous propose.

    Aux citoyens de choisir.

    Jean-Pierre Plourde.
    http://saglacweb.blogspot.com

  7. 7 robeert gauvreau Le 2 août 2011 à 20h54

    c est genial mais je crois gue nos elue ne sont pas assez intelligent pour ca car en premier lieux ca va cree beaucoup d ouvrage et en meme temps ca ca faire disparetre beaucoup douvrage de maintenance et beaucoup d argent de la construction car se serais trop facile cette chose la

  8. 8 Jean-Pierre Plourde Le 12 août 2011 à 23h09

    M. Gauvreau, vous vous trompez, c’est à nous citoyens de forcer nos élus à fonctionner selon nos intérêts et à les mettre à la porte s’ils ne s’exécutent pas. Des promesses d’élections non tenues c’est un bris de contrat.

    On devrait avoir un coupon sur notre rapport d’impôt qui nous permettrait une fois l’an de provoquer une nouvelle élection de compté si la majorité des citoyens n’est pas satisfaite d’un député ou d’un gouvernement.

    Si un tel coupon existait, M.Charest serait probablement déjà parti.

    Merci d’être là.

    Jean-Pierre Plourde,

  9. 9 lagentefeminine Le 5 avril 2012 à 8h53

    Excellente idée très mauvais plan de mise en marché. Prmièrement s’inscrire contre le TGV c,est se tirer dans le pied au lieu d’unir l’intérêt de gens d’affaires puissant avec de l’argent. En mettant les 2 projets dans des infrastructures partageés en double t
    TT deux lignes de TGV aérien au dessus et 3 lignes de monorails en dessous. Au lieu d’aller a contre sens on fait pousser tout le monde dans le même sens.
    Deuxièment. La meilleure façon de rentabiliser des infrastructures aussi couteux au Québec c’est de miser sur le transport des marchandises. Si toutes les marchandises transit via le tgv et les monorails nons seulement on les rentabilisent en les faisant payer pour circuler sur les infrastructures mais on arrète de saboter nos routes avec du transport lourd. En reliant tout les parcs industriels, ports, aéroports, cenetre commerciaux.
    Troisièmement les paln nord aura besoin d’infrastrutures de transport majeures en le faisant le long de la route on assure ainsi le paiement par le budget des entrepirses qui utiliseront les infrastructures TGV-MONRAIL pour le paiement de la route aussi. Pas le choix faut bien déboiser, monter les lignes électrique.
    Se servir de cet infrastrucutres pour transports aussi le agz naturel, le pétrol et des convoyeurs pour les minéraux. Savoir joindre les différents besoins dans un même projet mais plus de partenaires financiers dans le même développement.
    Quatrièment dans le plan initial proposé vous avez ignoré le 50 km sur lequel il y a le plus de déplacements au Québec. Montréal-Mont-Tremblant alors politiquement vous perdez des appuient considérables.
    Cinquièmement que le Québec soit ou non souverain il doit transporter des biens et des personnes vers le Canada et les États-Unis. La meilleure façons de développer un tel projet est de le rendre pan-canadien tant au nord qu’au sud. Toronto est une des villes les plus populeuse de l’amérique du Nord c’est fou d’ignorer le potenteil de ce marché. Ottawa-Toronto a bien besoin d’un lien efficace. L’alberta qui cherche un moyen de transporter son pétrol. Les indiens et inuits qui cherchent des moyens pour sortir de l’isolement. Terre-Neuve et Labrador qui ont du cash a investir pour se sortir de l’enclave qui les éloingne du Canada. La Colombie-Britanique si proche du marché asiatique et européens. Vous nêtes pas au courant des projets de tunel sous le détroit de Béring? Quand on veut développer un projet il faut évaluer son potentiel et le mettre en marché en allant chercher les partenaires qui vont nous aider a réaliser.
    Sixièmement des partenaires qui peuvent a priori être négligés seront peut-être les meilleurs au niveau de l’appuie populaire. Les sports professionnels et le tourisme sont porteur de développement. S’il y avait un projet de TGV-MONORAIL d’un bout a l’autre du pays tant au nord qu’au sud. On pourrait rejoindre en peut de temps Terre.Neuve-Québec-Montréal-Toronto-Windsor-Winnipeg-Calgary-Vancouver..les maritimes-New-York-Boston.. Donc le hockey par exemple, les affaires. Une ligne d’hydro-Québec tout le long pour aller vendre au marché Canadien. Éventuellement avec le détroit de Bréing en Europe. Trop gros pour vous? Si vous ne être assez visionnaire pour mettre sur peid un gors projets oubliez ce genre de projet. Car la meilleure façon d’avoir les moyens de le réaliser et d’avoir l’appuie de la population est justement d’en faire un projet RASSEMBLEUR et mettre tout les intérêts dans le même sens au lieu de créer des levées de boucliers.

  10. 10 Jean-Pierre Plourde Le 5 avril 2012 à 21h33

    Bonjour Madame.

    Vous nous dites :
    « Excellente idée très mauvais plan de mise en marché. Prmièrement s’inscrire contre le TGV c’est se tirer dans le pied au lieu d’unir l’intérêt de gens d’affaires puissant avec de l’argent. En mettant les 2 projets dans des infrastructures partageés en double t
    TT deux lignes de TGV aérien au dessus et 3 lignes de monorails en dessous. Au lieu d’aller a contre sens on fait pousser tout le monde dans le même sens. »

    Madame, un TGV ne peut pas être surélevé sur de longues distances à faibles coût, la masse de béton que requiert cette élévation est beaucoup trop imposante. la course d’un TGV requiert des courbes très étendues. Le TGV est déposé sur ses rails, ça rend les structures sous-jacentes vulnérables à la force centrifuge, plus on l’élève du sol, plus on exercera des contraintes importantes sur la structure de béton le supportant du fait de la force centrifuge latérale exercée sur la structure de béton, $$$. Forcer le monorail à passer dessous, c’est lui enlever toute sa flexibilité, le TGV doit passer au travers la montagne alors que le monorail lui la contournera ou même passera par dessus, $$$.
    Un TGV au sol coûte 35 millions le kilomètre, le surélevé ne fait aucun sens économiquement. Le monorail lui coûtera 12 millions le kilomètre, ça fait une sacré différence tout en offrant une flexibilité que ne rencontrera jamais le TGV.
    La ligne TGV entre Québec et Montréal s’annonce déjà déficitaire et non rentable même à long terme. Il lui faut environ 200 passagers sur 300 avec des départs fréquents pour faire ses frais. En Europe le TGV a des gares dans des villes de plusieurs millions d’habitants. Avec 700,000 habitants construire un TGV Québec-Montréal c’est comme construire le stade olympique au Saguenay ou introduire une équipe de hokey dans la ville de Québec sans s’être au préalable assurer d’une capacité d’y amener des amateurs de tous le Québec, seul le monorail peut faire cela économiquement. Le TGV ne pourra jamais descendre les gens directement devant le stade Péladeau, ou arriver de toutes les directions.
    A 35 millions le kilomètre, le TGV est un très mauvais investissement, il lui faut 10 minutes pour atteindre sa vitesse ou s’arrêter. Le monorail fait cela en quelques secondes.
    Il peut donc faire des arrêts en cours de route.
    Un autre aspect non négligeable, le TGV est propice au terrorisme, un simple camion de concassé jeté par dessus les voix et c’est la catastrophe assurée, le TGV passe en dessous de la plupart des viaducs et il devront tous être modifiés, $$$.
    Un TGV entre Québec et Montréal, c’est aller en contre sens de la logique de la rentabilité.
    .
    Vous me dites :
    « La meilleure façon de rentabiliser des infrastructures aussi couteux au Québec c’est de miser sur le transport des marchandises. Si toutes les marchandises transit via le tgv et les monorails nons seulement on les rentabilisent en les faisant payer pour circuler sur les infrastructures mais on arrète de saboter nos routes avec du transport lourd. En reliant tout les parcs industriels, ports, aéroports, centre commerciaux. ».

    a. Le TGV n’est pas prévu pour le transport de marchandise à cause du coût des structures de sa suspension variable alors que le monorail oui.
    b. Le TGV pourra s’arrêter dans une ou deux gares dans la même ville, pas plus, il devient alors l’équivalent d’un gros autobus à basse vitesse entre ces deux points.
    c. Le monorail peut remplir les deux rôles très facilement. La Municipalité comme Québec peut adopter le même monorail comme métro de surface. La ville se rend ainsi compatible avec le Trens-Quebec, un groupe de passager arrivant de Montréal à la gare centrale peut voir sa navette changer de chauffeur et prendre sa place dans le métro de surface de la ville. Cette navette devient alors l’équivalent de l’autobus, oubliez cela pour le TGV.

    Vous me dite encore :
    « Troisièmement les paln nord aura besoin d’infrastrutures de transport majeures en le faisant le long de la route on assure ainsi le paiement par le budget des entrepirses qui utiliseront les infrastructures TGV-MONRAIL pour le paiement de la route aussi. Pas le choix faut bien déboiser, monter les lignes électrique.
    Se servir de cet infrastrucutres pour transports aussi le agz naturel, le pétrol et des convoyeurs pour les minéraux. Savoir joindre les différents besoins dans un même projet mais plus de partenaires financiers dans le même développement.
    Quatrièment dans le plan initial proposé vous avez ignoré le 50 km sur lequel il y a le plus de déplacements au Québec. Montréal-Mont-Tremblant alors politiquement vous perdez des appuient considérables. »

    Un TGV dans le plan nord ne fait aucun sens. On est dans le pergélisol, un sol instable, on devra aller chercher le roc pour asseoir sa structure. Le nord possède un système écologique très particulier, on ne doit pas détruire les chemins de migration de la faune comme le Caribou. Le TGV coupera le territoire en deux alors que le Monorail passera suffisamment haut au dessus du sol pour éviter d’avoir à déneiger sous sa structure. Un TGV nordique ne fait aucun sens. Les coûts de déneigement et d’entretien seront extrêmement élevés.
    Pour ce qui est des services comme le gaz et l’électricité ces équipements ont déjà régler ces problèmes et la plupart sont surélevés justement pour prévenir la fonte du pergélisol, la neige abondante et permettre à la faune de circuler.
    Le monorail pourra relier toutes les régions du Québec y compris la région du Mont-Tremblant. Vous avez pris notre projet à la lettre en oubliant de faire toutes extrapolations qui vont découlées de la construction de la première ligne, un projet qui a le potentiel de couvrir l’Amérique, le seul capable de retirer du trafic sur nos routes et autoroutes.
    Les Américains n’ont pas adopté le TGV et ne le feront jamais, à cause des distances. Les coûts sont trop importants en infrastructures. Le monorail a beaucoup plus de chance d’être l’alternative retenue pour jouer ce rôle et de devenir le modèle à suivre en Amérique du nord et du sud, en Afrique et en Asie pour le tiers du coût d’un TGV.
    Il n’est pas question d’ignorer quelques marché que ce soit, un TGV Montréal-Toronto pourrait très bien avoir sa place, mais pas celui de Montréal-Québec, non.
    Pour desservir les Etats-Unis avec le TGV il faut d’abord que les Américain en veuille et ce n’est pas demain la veille de se produire.

    Cinquièmement que le Québec soit ou non souverain il doit transporter des biens et des personnes vers le Canada et les États-Unis. La meilleure façons de développer un tel projet est de le rendre pan-canadien tant au nord qu’au sud. Toronto est une des villes les plus populeuse de l’amérique du Nord c’est fou d’ignorer le potenteil de ce marché. Ottawa-Toronto a bien besoin d’un lien efficace. L’alberta qui cherche un moyen de transporter son pétrol. Les indiens et inuits qui cherchent des moyens pour sortir de l’isolement. Terre-Neuve et Labrador qui ont du cash a investir pour se sortir de l’enclave qui les éloingne du Canada. La Colombie-Britanique si proche du marché asiatique et européens. Vous nêtes pas au courant des projets de tunel sous le détroit de Béring? Quand on veut développer un projet il faut évaluer son potentiel et le mettre en marché en allant chercher les partenaires qui vont nous aider a réaliser.

    Avant de devenir grand il faut d’abord naître. Avant de construire la Manic, on a d’abord acheté les réseaux locaux, pris l’expérience qu’il fallait et ensuite faire la Manic. La Baie de James est une suite logique, ce qui ne l’est pas pour le Québec c’est la présence des Desmarais, Charest, Harper dont l’intérêt ne sont pas ceux du Québec comme province mais de l’asservissement de sa population.
    Une très grande partie des coupures d’emplois du budget Harper sont destinés au Québec.
    150 emplois perdus à Vacartier, coupure des budgets de Katimavik dont le mandat était de promouvoir le bilinguisme. Avec 25% de la population Canadienne, le réseau français de radio-Canada supportera environ 50% des coupures de la radio d’état, 256 du côté anglais et 243 du côté français.
    Nos sociétés sont de plus en plus prise en charge par le capital, les politiciens étant tous sous la botte de ce dernier. Pourtant ce capital il nous le prenne sans permission, à l’Hydro-Québe, la Caisse de dépôt et ailleurs… Autant le Québec, le Canada ou les Etats-Unis sont dans cet engrenage.

    Je retiens principalement de votre intervention que vous intégrez le Monorail dans toutes vos projections. Je trouve donc votre attitude très positive.

    Le pillage de nos élus par les forces du capital est très inquiétant pour l’avenir de la planète.

    Merci de votre participation.

    Jean-Pierre Plourde,
    http://saglacweb.blogspot.com

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Cet article de 1,600 a été rédigé par Jean-Pierre Plourde il y a 12 ans et 11 mois, le jeudi 19 mai 2011.

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Cet article est catégorisé sous Économie, Québec.

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