Par Jo Blo
La seule et unique façon d’éliminer la corruption dans le milieu de la construction et dans le financement des partis politiques au Québec, c’est de dissoudre le Parti libéral du Québec. On épargnerait ainsi des millions de dollars !
La seule façon d’éradiquer la corruption c’est de dissoudre le Parti libéral du Québec. Charest cherche encore une fois à nous jeter de la « poudre » aux yeux.
L’Opération Marteau a été créée le 23 octobre 2009, il y a plus d’un an. Puis il y a eu l’unité anticollusion Duchesneau. Il aura fallu plus d’un an, des rappels quotidiens dans les médias et à l’Assemblée nationale, une pétition de plus 240 000 noms exigeant sa démission, pour que Charest décide de « trouver quelque chose » pour faire taire la grogne populaire : une unité anticorruption permanente, comme à New York.
Franchement ! Il nous prend vraiment pour des épais.
Cela prend des faits, des preuves pour amener (les contrevenants) devant les tribunaux et les faire condamner, nous dit Charest.
Quelques questions pour vous monsieur Charest parce que vous ne dites pas tout.
Dans tous les cas de figure, ce ne serait pas le cas dans le cadre d’une enquête publique.
Il n’y a qu’une solution.
La seule et unique façon d’éliminer la corruption dans le milieu de la construction et dans le financement des partis politiques au Québec, c’est de dissoudre le Parti libéral du Québec.
On épargnerait ainsi des millions de dollars !
Les quelques politiciens honnêtes qui sont encore membres du PLQ, car il doit bien y en avoir quelques-uns, pourront ainsi rebâtir le parti sur de nouvelles bases.
Vivement la dissolution du PLQ!
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Cet article de 265 a été rédigé par Jo Blo il y a 14 ans et 4 mois, le jeudi 23 décembre 2010.
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Cet article est catégorisé sous Politique, Québec.
Les mots clés associés à celui-ci sont corruption, Jean Charest, Parti Libéral du Québec.
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Si on doit assurer l’immunité et fournir la preuve aux présumés coupables avant qu’ils ne comparaissent, alors je ne vois vraiment pas où se situerait l’efficacité d’une enquête publique.
Contrairement à ce que pense l’auteur, j’ai idée qu’il serait impossible de départager entre ce qui relèverait de cette dernière et ce qui constituerait les résultats des démarches policières; les vases communiqueraient nécessairement, d’où l’inextricable imbroglio. Déjà, nous pouvons apercevoir le caractère illusoire d’une telle démarche. Un avocat expérimenté devrait pouvoir conclure ou trancher, (pour le soulagement de tous).
Jean Rousseau, B. Ps
C’est très simple. Une Commission d’enquête sur la corruption et le financement des partis politiques est LA SEULE façon d’étaler au grand jour tous les liens entre la Mafia et le PLQ.
Les témoins qui comparaissent à une Commission d’enquête ne peuvent être poursuivis à cause de ce qu’ils ont dit lors de cette Commission ou, dit autrement, ce qu’ils disent ne peut être utilisé comme preuve au criminel.
C’est là que l’enquête policière vient compléter le travail; si les policiers ont des preuves, autres que ce qui a été dit à la Commission d’enquête, le Procureur peut les poursuivre en vertu de cette preuve et les faire condamner.
Voilà. Je vous demande donc,à vous, le grand psychologue, de retirer votre première phrase : « Il faut faire preuve d’honnêteté en tout, même en critiquant l’adversaire. »
Ce n’est pas parce que vous n’êtes pas informé d’une situation que ceux qui le sont sont malhonnêtes quand ils s’expriment.
À bon entendeur !