Les témoins qui comparaissent à une Commission d’enquête ne peuvent être poursuivis à cause de ce qu’ils ont dit lors de cette Commission ou, dit autrement, ce qu’ils disent ne peut être utilisé comme preuve au criminel.
C’est là que l’enquête policière vient compléter le travail; si les policiers ont des preuves, autres que ce qui a été dit à la Commission d’enquête, le Procureur peut les poursuivre en vertu de cette preuve et les faire condamner.
Voilà. Je vous demande donc,à vous, le grand psychologue, de retirer votre première phrase : « Il faut faire preuve d’honnêteté en tout, même en critiquant l’adversaire. »
Ce n’est pas parce que vous n’êtes pas informé d’une situation que ceux qui le sont sont malhonnêtes quand ils s’expriment.
À bon entendeur !
]]>Contrairement à ce que pense l’auteur, j’ai idée qu’il serait impossible de départager entre ce qui relèverait de cette dernière et ce qui constituerait les résultats des démarches policières; les vases communiqueraient nécessairement, d’où l’inextricable imbroglio. Déjà, nous pouvons apercevoir le caractère illusoire d’une telle démarche. Un avocat expérimenté devrait pouvoir conclure ou trancher, (pour le soulagement de tous).
Jean Rousseau, B. Ps
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