[ Nouvelles brèves ]
Par Parti Québécois
C’était écrit dans le ciel que Jean Charest allait laisser de côté le ticket modérateur. Il s’agit d’une tactique bien connue: tentant de jouer les bons princes, les libéraux annulent une décision impopulaire pour faire passer en douce une autre décision impopulaire.
La députée de Taschereau, Agnès Maltais, a tenu à rappeler que depuis juillet dernier une autre taxe santé régressive est en vigueur. À terme, chaque Québécois admissible devra payer 200 dollars par année pour financer la santé et maintenir au niveau actuel le système de santé, soit sans amélioration.
« Depuis juillet dernier, les Québécois paient une nouvelle taxe régressive qui sera, à terme, de 200 dollars. Une personne ayant un revenu de 30 000 dollars paiera le même montant de 200 dollars que la personne ayant un salaire de 150 000 dollars. Cette taxe régressive est inacceptable, elle ne doit pas servir de modèle aux mesures de remplacement que devra trouver le ministre des Finances s’il veut équilibrer son budget », a ajouté Agnès Maltais.
« Le constat est assez évident que le ministre Bachand improvise et que son cadre financier repose sur un illusoire contrôle des dépenses et des finances publiques. Le problème du gouvernement libéral, c’est qu’il décide et ensuite il réfléchit. Ce n’est pas pour rien qu’il passera à l’histoire pour avoir été le gouvernement ayant le plus endetté les Québécois », a conclu le député de Rousseau et porte-parole de l’opposition officielle en matière de finances publiques, Nicolas Marceau.
Mots clés: Nouvelles brèves, Politique, Québec,
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Cet article de 202 a été rédigé par Parti Québécois il y a 14 ans et 8 mois, le jeudi 23 septembre 2010.
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Je trouve cela honteux, de vouloir nous charger une taxe supplémentaire de 200$ a payer a même nos impôts pour nos soins de santé. Moi je lutte contre le cancer et le gouvernement n’arrête pas de nous en occasionner des cancers à toujours se battre devant l’insécurité financière. A toujours se battre avec la SAAQ après un accident de voiture, j’ai véçu cela. On ne se gêne pas de gaspiller nos argents par la commission actuelle, une comédie presque parfaite.
Il me semble que cela aurait pû être placer dans les soins de santé, A quand la satisfaction d’une administration en bon père de famille de nos argents sans décourager une grande partie de la société et nos enfants. La perte avec la caisse de dépôt n’était pas assez!