Le jeudi 30 octobre 2008

QuébecPolitique

Les prétentions amérindiennes sont sans fondement

Pourquoi la Constitution canadienne n’a aucune valeur

Les peuples autochtones ]

Par Jean-Pierre Plourde

Le problème Québec-Amérindien doit se régler entre Québécois et Amérindiens. Il nous faut donc sortir la fédération de ces négociations trafiquées. Seule une majorité de citoyens Québécois bien informée de ses droits est en mesure de faire cela.

Toutes les revendications des Amérindiens réfèrent en particulier à l’article 35 de la Constitution canadienne de 1982. Avant 1982, la Constitution canadienne se trouvait en Angleterre et protégeait les droits du Québec. Cette Constitution fut rapatriée et modifiée unilatéralement en 1982 par le Canada sans l’accord du Québec. Le Québec y perdait ses droits de partenaire égalitaire.

Le premier ministre du Québec de l’époque et ses successeurs se sont tous farouchement opposés à tout rapatriement sans l’accord du Québec. Pour en savoir davantage sur les raison de ce rejet, consultez le statut politique et constitutionnel du Québec, Historique et évolution1.  Ce document fut réalisé par le Secrétariat aux affaires Intergouvernementales canadiennes du ministère du Conseil exécutif. Ça se lit très bien et c’est facile à assimiler. Le Ministre de l’époque s’appelait Joseph Facal.

Vous pourrez lire dans ce document le texte suivant :

Les Québécois peuvent décider de rester dans le fédéralisme canadien comme il peuvent décider démocratiquement d’en sortir s’il jugent que ce système ne correspond plus à leurs aspirations et à leurs besoins. Ce droit de contrôler soi-même son destin national est le droit le plus fondamental que possède la collectivité québécoise.

La lecture de tout le document vous donnera un bon aperçu de votre passé, de votre présent. Il vous restera à choisir quel avenir vous voulez ensuite laisser à vos enfants. Vous comprendrez pourquoi la Constitution de 1982 n’a aucune valeur et vous saurez pourquoi votre implication est requise.

Les Québécois doivent rejeter toutes ordonnances qui leurs sont imposées sans leur consentement. C’est un manque flagrant de respect entre partenaire, comme il en fut pour la nuit des long couteaux, le Lac Meech et bien d’autres. Cette prétendue Constitution de 1982 est l’une de ces ordonnances dont les Québécois doivent être informés et qu’ils doivent rejeter majoritairement.

La démocratie, par définition, fait abstraction de toute notion de race. Le traité de l’approche commune est à caractère raciste et il ne cherche qu’à protéger les intérêts particuliers des multinationales aux dépends de la démocratie du nombre et même des Amérindiens eux-mêmes. Ces derniers ne seront jamais en mesure de défendre ou protéger les territoires contre la voracité des multinationales. Ils seront démunis devant la tutelle que la fédération leur imposera sans l’appui de l’ensemble des Québécois dorénavant en voie de disparition.

Les territoires du Québec appartiennent à ceux qui les ont réellement développés, soit, l’ensemble des Québécois habitants les territoires, Québécois, Amérindiens et Immigrants inclus. Les Québécois doivent comprendre cette notion pour devenir responsable de leur avenir.

Le problème Québec-Amérindien doit se régler entre Québécois et Amérindiens. Il nous faut donc sortir la fédération de ces négociations trafiquées. Seule une majorité de citoyens Québécois bien informée de ses droits est en mesure de faire cela. Un tel traité serait impossible à réaliser ailleurs au Canada, car les citoyens des autres provinces sont beaucoup mieux informés sur ces questions et ne laisserait jamais passer une telle chose.

Pour ne pas disparaître, les Québécois doivent relever la tête et prendre conscience de l’importance de la notion de liberté que seule la souveraineté peut leur donner. Le Québec est et va rester sous la tutelle de la fédération, sauf si vous et moi décidons tous ensemble d’épouser la liberté et le droit à l’égalité qui va avec.

  1. Dans la table des matières de la colonne de qauche, cliquez sur La rupture de 1982, ou, pour une version très réduite, cliquez sur la « Conclusion » en bas. []

2 commentaires à cet articleFlux RSS des commentaires

  1. 1 jean claude pomerleau Le 18 janvier 2009 à 21h36

    Québec, un état optimal pour un peuples invisible.

    Le sort des Premières Nations est historiquement lié à celui des capacités de l’État du Québec

    Le film de Richard Desjardins sur les conditions de vie du peuple algonquin aura le mérite de ramener dans l’actualité le sort fait aux Premières nations. Cependant, on ne pourra comprendre ce qui a causé leurs malheurs et fournir une base pour leur redonner la dignité perdue, sans revenir sur l’histoire et surtout, sur des considérations géopolitiques si nécessaires à la compréhension de ce débat.

    Attribuer tous les problèmes que connaissent les nations indiennes à l’apparition des « Blancs » en Amérique est un lieu commun facile qui gomme une réalité historique et géopolitique. Encore faut il préciser que ces nations furent en fait victimes des conséquences d’une guerre coloniale menée sur leurs territoires par 2 puissances européennes qui avaient chacune leur manière d’établir des relations avec elles. Il est capital de noter que seul le Régime français avait établi avec elles des relations (diplomatiques) de nation à nation. La Conquête (1759) qui a entraîné la chute de la Nouvelle-France aura donc des conséquences tragiques sur la suite de l’histoire.

    L’histoire

    En signant le Traité de la Grande Paix de 1701, les 32 Nations indiennes avaient lié leur sort à celui de l’État naissant de la Nouvelle-France. Durant tout le temps que ce traité fut effectif, cette alliance a permis aux 70 000 français de contenir la volonté de domination du continent de plus d’un million de colons anglais et aux 32 Nations indiennes de rester maîtres de leurs territoires. (1)

    Suite à la conquête britannique qui a entraîné la déstructuration de l’État de la Nouvelle -France, sur lequel ces 32 nations s’appuyaient pour leurs défenses (milices), plus rien ne s’opposait au rouleau compresseur des colons britanniques qui convoitaient leurs territoires. En moins d’une génération après la défaite, toutes ces nations ont perdu leurs bases territoriales ancestrales. Même les Mohawks ont perdu leur territoire quand les Yankees américains ont chassé les loyalistes (leurs alliés) du territoire américain. De l’histoire ancienne sans rapport, pensez vous ?. Non, les Mohawks sont encore dans le prolongement de cette guerre, puisqu’il érigent actuellement des barricades à Caledonia en Ontario pour préserver un bout de territoire que la Couronne Britannique leur a cédé pour compenser la perte de leur vaste terre ancestrale. Des développeurs veulent y construire des condos !

    Géopolitique

    La conséquence de la chute de l’État de la Nouvelle France (même coloniale) a été une catastrophe historique pour les nations indiennes.

    Finie la relation de nation à nation. Les vainqueurs britanniques vont les réduire, petit à petit, dans des réserves, soumis plus tard à une loi de l’apartheid (Indians Act) (2). Résultat : elles se classent actuellement au 63è rang dans l’indice de développement humain (I .D.H.) des Nations Unis ; niveau équivalent à celui d’un pays du tiers monde.

    On peut plaindre longtemps le sort des nations indiennes pour se donner bonne conscience mais, il sera plus utile de chercher les bases concrètes sur lesquels une véritable dynamique de l’espoir puisse prendre appui. La base concrète de cet espoir pour les Premières Nations du Québec, est le même que celle de la Grande Paix de 1701 : cette alliance doit s’appuyer sur un État du Québec performant, et donc optimal.

    Suite au lancement de son film documentaire, Richard Desjardins a interpellé les souverainistes sur leurs intentions politiques concernant les Premières Nations. Traduit en termes géopolitiques, quelle sera leur stratégie d’État en matière de relations avec les Premières Nations.

    Pour rassurer M. Richard Desjardins, il faut rappeler que la plupart des membres de l’équipe politique qui ont mis en place l’État moderne du Québec dans les années soixante sont devenus souverainistes par la suite. Et ce sont eux qui ont mis au point la stratégie d’État la plus cohérente pour utiliser les leviers de l’État afin d’améliorer le sort des Premières Nations par la suite :

    C’est le gouvernement de René Lévesque qui a rétabli la relation de nation à nation entre le Québec et les Premières Nations (Une première depuis M. Vaudreuil, en 1759). Par cette reconnaissance, plusieurs nations sont soudainement devenues « visibles » en termes géopolitiques.

    C’est le gouvernement de Bernard Landry qui a conclu le traité de « La paix des braves » qui venait bonifier le traité de « La Baie James ». Une évocation historique à celui de « La Grande Paix de 1701 ». Traité moderne qui produit maintenant ses fruits pour le plus grand bénéfice des Cris et des « Blancs ».

    Les politiques mises en place par un gouvernement souverainiste nous donnent une indication claire de son intention et nous laissent entrevoir ce qu’il aurait pu réaliser s’il n’avait pas été limité aux moyens d’ un demi État, celui d’une province.

    Pour que le Québec puisse relever l’immense défi de ramener espoir et dignité parmi l’ensemble des Première Nations, il faudra qu’il se donne les moyens d’agir d’un État optimal, c’est-à-dire d’un État souverain (En géopolitique, seul l’État agit avec envergure). C’est à cette condition que le Québec pourra assumer un leadership exemplaire et s’offrir comme un modèle pour le monde.

    Le sort des Premières Nations est historiquement lié à celui des capacités de l’État du Québec, et, s’agissant des Algonquins, d’un État du Québec optimal, pour ce peuple invisible.

    Jean Claude Pomerleau

    (1) René BOULANGER, La bataille de la mémoire, Les Éditions du Québécois (Un point de vue géopolitique sur les raisons de la défaite militaire des français et sur le constat que la bataille n’est pas encore finie pour le Québec, car elle se poursuit à tous les niveaux dont celui de la mémoire.)

    (2) Le chef huron Max GROIS-LOUIS : « La loi fédérale des Indiens constitue un génocide bien planifié pour faire disparaître les Amérindiens ».

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    *
    Québec, un état optimal pour un peuples invisible
    25 décembre 2007

    Parmis les propositions pour faire progresser le Québec vers un état optimal de M Gérald Larose, il y en a une qui concerne la relation avec les nations amérindiennes, qui rejoint mon propos :

    ’’7. L’engagement à concrétiser l’autonomie gouvernementale des nations amérindiennes. Poursuivant l’élan donné dans la Paix des Braves et dans l’Approche Commune, la gouvernance souverainiste pressera la concrétisation de l’autonomie gouvernementale des nations amérindiennes sur le territoire du Québec et fera alliance avec elles aux Nations unies pour la progression de la reconnaissance de leurs droits.’’

    (http://www.m-e-s.org/gauche/bibliotheque/revue/2007-12-15_action_nationale)

    JCPomerleau

    *
    Québec, un état optimal pour un peuples invisible
    22 mars 2008

    Un autre film sur les Algonquins (Sans réserve, de Patrick Pellegrino ) qui va dans le sens de mon argumentaire. On y présente le projet d’un village modèle voulu par les Algonquins bloqué par l’inertie d’Ottawa :”Le gouvernement (Ottawa) a peur de créer un précédent, croit Henri Jacob, un conseiller de M. Papatie en aménagement du territoire. « Il y a plus de 600 communautés autochtones au Canada et, si le gouvernement crée un statut particulier pour une communauté, ça va faire boule de neige. » Ce problème ne se posait pas à Ouje-Bougoumou, qui ne relève pas de la Loi sur les Indiens mais bien de la Convention de la Baie-James.” (http://www.ledevoir.com/2008/03/22/181786.html)

    De toute évidence les Algonquins gagneraient à se débarrasser d’ Ottawa et de sa Loi raciste qui les tient sous tutelle coloniale (Indians Act). Ce qui serait le cas si le Québec était souverain. jcpomerleau

    *
    Québec, un état optimal pour un peuples invisible
    20 décembre 2008

    Décembre 2008. La nomination du Ministre Corbeil aux affaires autochtones par le Premier Ministre Charest équivaut a une déclaration de guerre selon les Premières Nations. Comment expliquer que les liberaux provinciaux ait si peu de respect pour les Premieres Nations, comparer au Parti Québécois de Rene Levesques.

    Cette différence de politiique entre Pq et PLQ vis a vis les Premières Nations, évoquée dans l’article en lien (1), vient confirmer mon argumentaire : Les Premières Nations du Québec ont tout a gagner a appuyer fermement les souverainistes , dans l’esprit de la Grande Paix . Une alliance profitable qui prend appuie sur une État du Québec optimal donc souverain.

    Géopolitique 101 : Le sort des Premières Nations est lié aux capacités de l’État du Québec.

    JCPomerleau

    (1) http://www.ledevoir.com/2008/12/20/224241.html

  2. 2 Jean-Pierre Plourde Le 19 janvier 2009 à 2h46

    Att. M. Jean-Claude Pomerleau;

    En premier lieu, vous êtes la première personne à réagir sur ce sujet important.

    Depuis le référendum de 1995, le Canada a déclaré la guerre à l’un de ces membres, Jean Chrétien et Charles Guyté en ont fait la mention.

    Comme dans toute autre dictature, l’État fédéral est prêt à utiliser toutes les bassesses pour assoir sa domination sur son partenaire le plus important et le plus différent.
    Il entretien le racisme contre nous chez les autres membres et dénigre ce qui vient du Québec. L’exemple des porte-drapeaux et des diverses discriminations olympiques envers le Québec sont de notariétés publiques. Il m’apparait tout à fait évident que, aux jeux para-olympiques, Chantale Petitclerc n’a pas été retenue comme porte-drapeau pour d’autres raisons que ses performances!

    Avec les négociations actuelles de l’approche commune nous sommes présentement dans la phase pré-militaire de notre asservissement.

    Le Québec a été mis sous la tutelle de la fédération qu’il a contribué à créer, voir sur mon site: Le contrôle de l’information, Conflits d’intérêts, juges et partis, Vivre libre ou disparaître, mes récents articles sur la caisse de dépôt et bien d’autres.

    Ce que les Britanniques avait réservé aux Autochtones après la Conquète, la fédération s’apprête à l’appliquer présentement contre les citoyens du Québec incluant les immigrants, les francophones, anglophones et les autochtones eux-mêmes. Vous avez bien lu, les Autochtones seront tout autant discriminés par la fédération que les autres Québécois. Une petite élite Amérindienne seulement va profiter des magouilles négociés dans ce traité. On se dirige vers un genre d’émirat Amérindien.
    Québec ne sera plus vraiment une province, mes un territoire fédéral occupé par différents peuples plus ou moins nomades.

    Toutes les négociations actuelles dites de l’approche commune se font entre partisants fédéraux, voir les signatures au bas des différentes négociations et recherchez le CV du signataire en notre nom.
    Par ce traité, la fédération va inclure les francophones à la tutelle qu’elle détient déjà sur les Autochtones. Pour réussir ce coup là, il lui fallait rencontrer deux conditions:
    1. Nous exproprier des territoires qu’on considère les notres, les droits fonciers territoriaux seront tous transférés à la fédération via la minorité Autochtone;
    2. Détruire le droit à la démocratie des habitants du Québec en renversant notre majorité au profit de la majorité canadienne, cette phase est en cours d’exécution dans Montréal et elle doit absolument être contrer.

    Lorsque ces deux conditions seront remplis, vous, moi et nos descendants seront devenus des nomades ayant des droits très limités sur notre propre avenir d’abord et sur celle du Canada ensuite. Nous n’aurons plus la possibilité d’assurer le maintien de notre culture. À ce titre nous aurons rejoint les Acadiens, les Autochtones, les Amérindiens sans statut et les métis.

    Il est primordial que le Québec conserve sa majorité, la stratégie de M. Charest d’envaillir Montréal d’immigrants anglophones est très malsaine et, à mon avis, va entraîner des actes de racisme et de violence dans un avenir rapproché.

    Le passé étant garant de l’avenir, les Amérindiens ont toutes les raisons de se méfier de la fédération pour assurer leur propre survie.

    Je suggère aux Autochtones et à tous ceux qui s’intéressent à l’avenir du Québec, de lire au moins le premier tome du livre de Normand Lester, Le livre noir du Canada anglais…

    M. Pomerleau, votre démonstration est éloquente.

    Conclusion:

    Québec doit reprendre le contrôle de son immigration et de son système d’éducation.
    La liberté d’expression doit être rétablie et les citoyens informés des jeux de coulisses qui se font contre eux.
    M. Charest contribue à notre asservissement, son gouvernement est sous la férule des multinationales et de la fédération, les citoyens en sont inconscient.

    La liberté passe par l’information. Le Canada, Lui, le sait et l’exploite en la contrôlant. Ne soyons pas dupe et réagissons.

    Jean-Pierre Plourde.
    saglac@gmail.com
    saglacweb.blogspot.com

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