Le lundi 26 janvier 2009

QuébecSociété

Étude du comportement des Québécois face à leur avenir

Par Jean-Pierre Plourde

Je m’attarde ici à comprendre pourquoi les Québécois abandonnent leur appartenance commune au profit d’une soumission sans compromis. Ils s’inquiètent de la paille qu’ils ont dans l’œil alors qu’ils s’apprêtent à accepter une énorme poutre entre les deux fesses.

Cet abandon va leur coûter leurs territoires, le titre de province, leurs acquis et autres actifs comme l’Hydro-Québec et bientôt, la caisse de dépôt… Ce sont des centaines de milliards qui sont ou seront dilapidés au profit d’un voisin sans compromis, en collaboration avec des multinationales qui salivent devant la cagnotte à ramasser.

Je me demande après cela pourquoi les Québécois s’offusquent des quelques milliers de dollars qu’auront coûtés le départ de l’ex-directeur de la Caisse de dépôt? Ils s’inquiètent de la paille qu’ils ont dans l’œil alors qu’ils s’apprêtent à accepter une énorme poutre entre les deux fesses.

Un peu plus bas je vous réfère à un autre site qui traite de la mise en esclavage d’un individu par l’abandon volontaire de son être à une autre personne dominatrice. Vous comprendrez que ce comportement utilise les faiblesses d’un individu afin de le conditionner par différentes méthodes a accepter volontairement son état de soumis.

À l’intérieur de tout individu, il existe la condition de dominé et de dominant, le point d’équilibre étant le respect de sa propre dignité afin d’assurer son propre avenir et la reconnaissance de ses enfants et descendants.

Le fort sentiment d’appartenance à sa culture entraîna les québécois à se voter un premier gouvernement péquiste en 1976 sous René Lévesque. Le sentiment semblable était très peu développé au Canada… Il s’en suivit un immense effort financier en propagande et autres forme de publicité pour développer le sentiment d’appartenance au pays dans tous les coins du Canada et en particulier au Québec, où des milliards de dollars ont été investis depuis ce temps en publicités, commandites et geste politiques disgracieux de tous genres, et cela continue.

La seule façon pour le Québec de récupérer ses actifs et de préserver le rêve Américain de liberté dans son être, c’est de maintenir et d’accentuer le sentiment d’appartenance à sa province d’abord, et à sa communauté francophone ensuite afin de rester fidèle à ses origines et conserver un avenir prometteur à ses descendants.

Le texte qui suit est du Psychiatre réputé Dr. William Glasser fondateur de l’institut du même nom:

Qu’est-ce que la Théorie du choix ® ?

La Théorie du choix ® constitue le fondement de tous les programmes offerts par The William Glasser Institute. La croyance fondamentale de l’approche veut que l’individu n’ait d’autre choix que de se comporter tout au long de sa vie. Ainsi, nous choisissons la plupart de nos comportements, lesquels sont motivés génétiquement par 5 besoins de base : la survie, l’appartenance, le pouvoir, la liberté et le plaisir. Dans les faits, le plus important besoin serait l’appartenance car il suppose l’interdépendance entre chaque individu pour satisfaire tous nos autres besoins.

La Théorie du choix ® se veut être une alternative à la psychologie du contrôle externe, l’approche psychologique contemporaine la plus répandue. Malheureusement, cette dernière est contraignante, coercitive, détruit les relations. L’impact d’une telle approche dans le cadre d’une relation donnée est invariablement de détruire l’habilité, pour l’un ou pour les deux, à se satisfaire dans le cadre relationnel et résulte en un éloignement des individus plutôt qu’en un rapprochement.

L’incapacité à créer et à maintenir des relations harmonieuses est à la source de la plupart des problèmes humains tels, la maladie mentale, la toxicomanie, la violence, le crime, le décrochage scolaire, l’abus physique et psychologique entre conjoints et l’abus physique et psychologique envers les enfants.

Qu’est-ce que la Thérapie de la réalité?

La Thérapie de la réalité est le modèle d’intervention enseigné par le Dr William Glasser depuis 1965. L’approche repose maintenant sur une assise solide : la Théorie du choix ® et son succès est lié à la connaissance et à l’habileté de l’intervenant à se familiariser avec cette dernière.

Dans la pratique, l’intervenant, le gestionnaire, l’enseignant enseigne maintenant la Théorie du choix ® à son client (client, employé ou étudiant). Puisque l’incapacité à créer et à maintenir des relations harmonieuses est à la source de la plupart des problèmes humains, l’objectif poursuivi par la Thérapie de la réalité est de permettre aux individus de créer ou de recréer des liens entre-eux ….

« Reality therapy is not something that a counselor does to a client. It is something a client learns to do for him/herself with the guidance of the counselor who acts as a friend, questioner and teacher.1 »

Maintenant voyons comment ce comportement peut se vivre dans une relation de couple ou la dominatrice en arrive a faire accepter un état « d’esclavage » volontaire à son dominé ou son mari. Cette situation peut se lire également à l’inverse, soit avec un dominateur et une femme dominée, ce qui à mon avis est probablement plus fréquent. Dans tous les cas de figures, la séparation qui pourrait en résulter est toujours beaucoup plus douloureuse pour le/la dominé(e).
Ces informations se retrouvent sur le site de La Carpette. Attention, ce site comporte des photos suggestives.

Méthodes pour changer le comportement incorrect en utilisant la logique

a) le comportement rationnel émotif : basé sur le concept que les émotions et le comportement résultent d’un processus cognitif, et qu’il est possible de modifier ce processus pour atteindre de différentes manières les sensations et le comportement. D’après cette méthode presque toutes les émotions humaines, et les comportements, sont le résultat de ce que les gens pensent, assument ou croient (à leur sujet, au sujet des autres, au sujet du monde en général).

(…)

c) La décision du choix : c’est une thérapie conçue par William Glaser en 2000. Un esclave lors de son dressage prend la décision d’autoriser sa Maîtresse à détenir ses choix. Il fait la « décision du choix », qui donne à la Maîtresse l’autorité de faire les choix dans sa vie qui vont changer son comportement. Cette théorie dit qu’un esclave va vouloir changer son comportement quand

1. son comportement actuel ne lui permet pas de satisfaire ce que veut sa Maîtresse alors que le plaisir de sa Maîtresse est ce qu’il y a de plus important pour lui,

2.lorsqu’il croit que le choix d’un comportement différent va le rapprocher des buts fixés par sa Maîtresse. L’étape majeure dans la décision du choix est pour l’esclave d’en venir à accepter et apprendre à accepter qu’il est un esclave. Dans cette acceptation il y a le fait que les choix de sa vie appartiennent désormais à sa Maîtresse. Son seul choix devient alors d’obéir à sa Maîtresse. Un esclave a encore de l’influence sur les décisions qu’elle prend, son conseil peut être demandé, mais au final un esclave suivra sa décision.

    Changer ou renforcer la pensée de l’esclave sur son statut d’esclave est plus important que s’agenouiller correctement. La pleine acceptation de son statut et de sa place peut être atteint seulement par cette acceptation à un niveau cognitif. Nous pensons, nous ressentons, nous agissons. L’acceptation au niveau cognitif peut impliquer d’explorer le subconscient, les pensées, les émotions.

    Conclusion

    Tous ceux qui ont déjà assisté à un séminaire, où des experts vendeurs tentent, souvent avec succès, de vous vendre du temps partagé dans des condos étrangers ou vous n’irez peut-être jamais, comme ce fut le cas pour l’un de mes amis, savent qu’on peut facilement conditionner quelqu’un à prendre des décisions importantes sans qu’il soit réellement conscient des implications.

    A ceux qui croient que je vais trop loin, en référant au site La Carpette, je vous invite à lire dans l’hebdomadaire du Progrès, le dimanche 25 janvier 2009, l’excellent article de Katerine Belley-Murray qui porte le titre « Les femmes, plus violentes que les hommes ».

    Vous retrouverez un extrait sur le site de Cyberpresse.2

    Le « jeu » de dominant-dominé est exploité par des centaines de milliers d’individus de tous les sexes. Avec les bons arguments, on peut modifier le comportement de n’importe quel individu, sans égard au niveau social.

    En éduquant nos enfants sans contrainte ni interdit, on ne met plus d’emphases sur les balises acceptables du bon comportement social. L’individualisme étant priorisé, le « Moi » ou l’ « Égo » prend le dessus. Il y a donc un risque élevé de voir s’accroitre ce type de comportement entre individu et entre groupes sociaux.


    Ce document est également publié sur SagLacWeb.

    1. Ce commentaire est tiré de ce site web. []
    2. Le document comporte plusieurs pages de textes et de chiffres. J’ai conservé le journal. Si vous n’arrivez pas à mettre la main sur la suite du document, à votre demande, je vous ferai parvenir une photocopie par fax, courrier, ou peut-être même par courriel, si je réussis à savoir comment scanner un document. []

    4 commentaires à cet articleFlux RSS des commentaires

    1. 1 M. Bergeron Le 16 février 2009 à 2h45

      Le comportement des Québécois

      Depuis plusieurs années j’y réfléchi je vous donne mon humble opinion.

      1- La mondialisation est venue brouillée les cartes comme si il n’était plus nécessaire d’être indépendant et on l’entend souvent je suis citoyen du monde. Et pourtant il serait encore plus pressant de faire l’indépendance parce que Ottawa signe des ententes qui nous concernent et dont il nous est impossible juridiquement de s’opposer. Exemple : Quand une compagnie à poursuivi le gouvernement de l’ouest canadien concernant l’eau c’est dangereux. Et bien une loi d’Ottawa l’emporte toujours sur celle d’une province. De plus la mondialisation personne ne sait trop comment ça va tournée cependant nous savons qu’elle est uniquement de l’ordre économique actuellement. Aucune structure ou préservation de quoi que ce soit. Tout est commerce donc il nous faut réagir. Cela cause un égarement des populations. Je compare l’économie au jeu de monopoly celui qui a les terrains bleu la parti se termine, on paye sans arrêt et vlan!

      2- Les gens sont mal informés et certains refusent de voir la vérité. Les médias sont contrôlés par Paul Desmarais à 70% qui lui fait des ententes croisées avec d’autres médias. On entends qu’un seul discourt et ce à tous les niveaux. La même personne qui se promène d’un médias à l’autre après avoir mâché la nouvelle prise dans un journal mêler avec son idée personnelle et voilà! Ces mêmes personnes se disent journaliste. WOW! Je constate sans arrêt un manque d’information venant d’eux. ON dit n’importe quoi.Plus d’enquête, plus de recul, agit par émotion et comprend mal après pourquoi ils reçoivent tant de lettre de bêtise. Nous avons un milieu de vedette politique, journaliste, artiste qui se prononcent quotidiennement mais jamais des experts. Probablement ils se prennent pour des experts. Quand le politique soupe avec les médias et les jouralistes on observe une familiarité déconcertante entre-eux. Le journaliste, il n’y a pas si longtemps étaient de la classe moyenne et comprenaient ce que vivait les gens. Heureux les vedettes et les autres ont peine à gagner leur vie à la pige etc. Les propriétaires des médias, certains sont prêt à fonctionner à perte pour garder le pouvoir d’influence sur le peuple simplement en prenant des vedettes pour exprimer des clichés qui circulent depuis longtemps.
      3-
      4- Des comportements sociaux affectifs. La qualité des québécois d’être ouvert devient un défaut en certaine circonstance celui d’être ouvert aux autres delà à ne pas s’imposer. On voit régulièrement des québécois dans un groupe si il y a un anglophone on adopte cette langue plutôt que de s’imposer. C’est à l’autre de s’adapter sans être pour autant rigide. Plutôt que de faire une croix sur quelque chose ou quelqu’un qui ne veut rien savoir on s’acharne à vouloir autrement et chaque fois on prend une taloche plutôt que d’admettre que l’autre ne veut rien savoir et d’être indépendant est la seule direction pour s’épanouir. Le Canada et les autres provinces en ont rien à cirer des québécois sauf le milliard par semaine que le Québec envoie à Ottawa en taxe de toute sorte. Tant qu’à la réalité thérapie ce que j’en ai retenu est que oublie tes actes passés, (référendum perdu,) entoure toi de personnes qui peuvent t’enrichir et met toute tes compétences à ton service pour obtenir une indépendance personnelles ¨Ca vaut aussi pour le peuple du Québec. Je suis toujours étonnée d’entendre partout au Québec c’est pire qu’ailleurs, les québécois sont ci sont ça. On déblatère sur nous sans arrêt et ça passe comme du beurre dans la poêle. Et bien il y a deux ans une pauvre femme lors d’une vente de garage à dit à une musulmane des opinions désobligeantes concernant son voile c’est la version. Et bien celle-ci l’a amenée devant la commission des droit de la personne et elle fut condamné à payer 1 000$. C’était quand même sa parole une contre l’autre. Parce que cette femme disait ne pas avoir insultée. J’étais à la renverse de voir cette femme pauvre avec seulement une pension handicapée et seule devoir payé 1000$. Encore un organisme dont il serait important de questionner ou bien portée plainte à chaque fois que l’on nous insulte dans les médias nous les québécois francophones une poursuite contre ces propriétaires de radio ou vedette entre autre.
      Salut à tous
      MBergeron

    2. 2 Jean-Pierre Plourde Le 16 février 2009 à 4h04

      M. Bergeron,

      Merci de votre commentaire.

      Pour qu’Ottawa cesse de prendre des décisions à notre place, il nous faut faire le choix de notre collectivité et cesser collectivement l’intimidation et le contrôle extérieur des informations autorisées à nous être communiquées.

      La recette est simple et difficile:

      1. Croîre en soi;
      2. Agir en groupe collectif désireux de conserver ses droits et le respect de lui-même;
      3. Agir collectivement pour modifier le décor politique;

      Cessons de dire que c’est la faute du PQ, du Bloc, des Libéraux, des Conservateurs, de Jean Charest, de Jean-Chrétien, de Bernard Landry, etc, avec une telle attitude, on ira nul part.
      Non. La décision de changer le monde, elle appartient aux gens qui se tiennent debout.
      Ce n’est pas parce que que quelques élus bien nantis et asservis croient décider pour notre bien qu’on doivent ne pas les renier si la communauté trouve que ça n’a pas d’allure.

      Toutes les institutions du Québec sont sous la tutelle de la fédération.

      C’est faux de prétendre que les lois et traités sont définitifs.

      Les lois doivent-être le reflet des besoins et des droits des gens qui habitent les territoires concernés par ces dites loi, c’est le sens même de la démocratie.
      C’est exactement cette démocratie que M. Charest cherche à détruire en saturant Montréal d’immigrants.

      Si les citoyens, vous et moi, constatons que les décisions des élus n’ont aucun sens, c’est le devoir de tous de se lever et de mettre à leur place les pseudo politiciens grassement payés qui se prennent pour dieu et que le peuple n’a pas le choix. C’est notre indifférence qui donne le pouvoir aux Chrétiens, Trudeau, Pelletier, Fortier, Desmarais, Sarcozie et autres.

      Vous en voulez une preuve, la bataille des plaines n’aura pas lieu de nouveau.
      La fédération risque de mettre le feu au poudre. Cette reconstitution risque fort de créer le ciment qui manque au Québécois pour agir ensemble.

      Si nous voulons récupérer nos territoires et nous prendre en main, on peu le faire, mais ensemble…. comme citoyens convaincus, qu’ils soient francophones, anglophones, autochtones, métis ou immigrants.
      C’est à notre majorité, si on réussit à la conserver, de définir notre cadre de vie… par aux gens d’Ottawa.

      La situation vécu au Québec ne peut pas se produire ailleurs au Canada. Ils se tiennent debout là-bas et refusent l’asservissement.

      Continuons dans l’indifférence actuelle. A court termes tous nos actifs nous auront été retirés, Hydro compris et Caisse de dépôt aussi, puis notre culture sera disparus dans une centaines d’années.
      L’histoire peut-être lûe en commençant par le tome 1, du livre de Normand Lester, Le livre noir du Canada Anglais.

      Au sujet de la caisse de dépôt:
      Comment peut-on penser que l’équipe de gestion la plus réputée au monde ait pu mettre 38 milliards dans des fonds à hauts risques. Je crois que la chose était impossible sans une intervention politique.

      Si M. Rousseau avait été incompétent, ce que je doute énormément et je ne suis pas le seul, il n’aurait pas été engagé par le groupe Desmarais avant son départ…
      A ce titre, la récompence de départ volontaire qu’il a reçu pour quitter la présidence de la Caisse ressemble plus à l’achat de son silence qu’a une prime de départ indue.

      A la Caisse de dépôt d’aujourd’hui, tout est devenu tellement politique, que personne de compétent ne veut jouer le rôle ingrat d’entre-metteur et de bouc émissaire responsable de la déconfiture de nos fonds de retraites qui devraient-être à zéro avant la fin du mandat de M. Charest. Une liquidation de 150 milliards de dollars…

      Vous êtes bien parti, relisez mon texte et vous constaterez que par le contrôle de l’information, on peut amener un peuple à se considérer inférieur, il suffit seulement d’allonger les milliards qu’on va nous faire payer, par exemple via la Caisse et l’Hydro…

      C’est une histoire à suivre.

      La solution se trouve dans les mains des citoyens du Québec.

      Je ne peux rien faire d’autre que de donner mon opinion et faire connaître le résultats de mes enquêtes, comme la confirmation qu’il y a bel et bien contrôle de l’information, que le Québec est sous la tutelle de la fédération qu’il a contribué à créer et développer, etc.

      Voir mes textes sur saglacweb.com et sur saglacweb.blogspot.com

      Attardez-vous entre autres aux textes suivants:
      Vivre libre ou disparaitre, le contrôle de l’information, juge et partie, Conflit d’intérêt, etc.

      On ne peut mettre à terre un peuple qui se tient debout, tous les peuples libres nous donneraient leur appui.

      A bientôt.

      Jean-Pierre Plourde.

      L’approche commune par exemple, n’a ni queue ni tête. Est-ce qu’on va demander aux États-Unis de nous retourner tout le centre américain parce que Robert Cavalier de Lasalle était là avant et que les traités signés à l’époque l’avait été sans nous consulter.

    3. 3 M. Bergeron Le 16 février 2009 à 5h49

      Une chose me chicotte concernant la caisse de dépôt. Paul Desmarais à l’habitude d’avoir des amis à l’intérieur de certains centres névralgiques pour obtenir des changements de règlement et prendre le contrôle. Lorsque le tout est complété, il donne un poste à la personne dans son entreprise. C’est son fonctionnement. Autant pour la Banque Nationale, dont Ottawa à changer les règles seulement pour cette banque et non les autres au Canada. Il était interdit qu’un particulier puisse avoir des actions majoritaires et il ne manque qu’une petite intervention fédéral pour que la Banque Nationale passe dans les mains du privé dont P. Desmarais probablement. Curieusement un cadre supérieur de la BN à démissionner dernièrement pour aller travailler pour le gouvernement canadien??? À surveiller. Un autre fleuron québécois…

    4. 4 Jean-Pierre Plourde Le 16 février 2009 à 12h19

      Se voter des députés ne devrait jamais signifier qu’on a plus rien à dire. On a pas compris cela, c’est la base de la démocratie.
      Si les élus savaient leurs décisions remise en question par le peuple, les abus comme ceux-là seraient chose du passé et Charest aurait déjà trouvé la porte de sortie, majorité ou pas…

      La seule solution, faire circuler l’information et démontrer au peuple ou se trouve le vrai pouvoir.
      Jean-Pierre

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    Fiche de l'article

    Cet article de 1,399 a été rédigé par Jean-Pierre Plourde il y a 15 ans et 2 mois, le lundi 26 janvier 2009.

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