[ L'état de la langue française • L'indépendance du Québec ]
À ce jour, l’expression “Maître chez nous” ne veut malheureusement plus rien dire, car bientôt nous serons tellement dilués dans cette société anglophone que nous deviendrons par la force des choses étrangers dans notre propre Pays.
En réaction à l’article paru dans la Presse du 24 décembre 2011: Débat linguistique: les Québécois se réveillent, de Louis Plamondon
J’ose espérer que les Québécois ne prendront pas juste action en se réveillant pour se rendormir dans peu de temps. Notre société est en péril, notre culture également, nous avons un entraîneur-chef unilingue au canadiens, quand allons-nous ouvrir les yeux et voir que le problème du PQ me semble être qu’une orchestration médiatique, un écran de fumée qui laisse toute la route ouverte aux Libéraux, à la CAQ, deux partis fédéralistes pilotés fort probablement par l’équipe Desmarais, pour enfin nous éliminer une fois pour toute dans l’espace nord-américain.
Notre Parti Québécois est bien plus important que Madame Marois! Faut-il que nous soyons si caves ou si peu allumés pour ne pas voir les signes précurseurs de notre extinction!
Voyons! Calisse!! Où est passé notre fierté Québécoise! La promotion de Randy Cunneyworth chez le Tricolore, l’embauche d’unilingues anglophones à la Caisse de dépôt et placement du Québec ainsi qu’à la Banque Nationale, la face de la Reine dans les édifice gouvernementaux sans oublier les 7,5 millions de dollars pour célébrer le jubilé d’or d’Elizabeth II, la loi C-10, de plus en plus d’immigrants allophones, l’anglais de plus en plus présent dans la métropole, le Plan Nord où nous allons une fois de plus nous faire anesthésier afin de pouvoir encore plus nous voler! Ou devrais-je dire nous faire fourrer ?
À ce jour, l’expression “Maître chez nous” ne veut malheureusement plus rien dire, car bientôt nous serons tellement dilués dans cette société anglophone que nous deviendrons par la force des choses étrangers dans notre propre Pays.
Sur ce, j’aimerais vous souhaitez une belle année 2012, pleine de convictions, de détermination, et pour ceux qui ont déjà acceptés l’assimilation, vous pouvez toujours vous servir de Google Traduction. En ce qui me concerne, je n’ai pas fait 8000 kilomètres pour parler en anglais au Québec et je continuerais à ma battre pour un Québec libre et Français.
Bertrand Lefebvre,
Président du Parti Québécois,
Comté de Masson
Mots clés: L'état de la langue française, L'indépendance du Québec, Politique, Québec,
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Articles rédigés: 3 articles
Profil: Originaire du sud de la France je me suis installé au Québec en 1992. A ce jour je milite pour le Parti Québécois, pour la sauvegarde de notre langue, de notre…
Cet article de 336 a été rédigé par Bertrand Lefebvre il y a 11 ans et 2 mois, le samedi 31 décembre 2011.
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Cet article est catégorisé sous Québec, L'indépendance du Québec, L'état de la langue française, Politique.
Les mots clés associés à celui-ci sont langue anglaise, langue française, monarchie, Parti Québécois, Pauline Marois.
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2012, une bonne année? On verra…!
D’après un article de Lise Payette, Le Devoir
30 décembre 2011
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L’arbre de la connaissance du bien et du mal.
« […] ce qui tendrait à démontrer que l’humain a très peu progressé pendant tout ce temps » (L. Payette).
J’aime fréquenter les artistes, car ils me font réfléchir. Ces derniers dénoncent des situations troublantes et je m’efforce à mon tour de trouver des manières novatrices de les résoudre. Ils sont applaudis par le peuple (car, en adéquation avec lui) tandis que mes idées ne trouvent pas preneurs, car la nouveauté fait peur (1).
La connaissance de soi ne s’acquiert que par les meilleures vrilles (2), car il convient de creuser là même où se trouvent les certitudes qui régissent l’inestimable estime. La religion est à la vérité ce que la loterie est au bonheur, voire un mirage tout comme l’indépendance du Québec. Les idéalistes ne parviennent pas à se rendre compte de cette réalité, car ils sont enfermés dans la symbolique, là où le rêve a préséance sur le réel. Pour sortir de ce délire, j’en suis venu à penser après plusieurs tentatives infructueuses, à faire appel à des penseurs reconnus de l’extérieur en espérant qu’ils demeurent souverains d’esprit, voire des libres penseurs. Demandez l’avis de sommités rationnelles et vous verrez bien que mes arguments se tiendront debout malgré les pires vents. De se cacher la réalité telle que l’avait fait le capitaine du Titanic, annonce d’horribles présages. Si vous en êtes incapables, démontrez alors suffisamment d’amour pour vos semblables en laissant le navire à plus doués à l’égard de la tâche.
(1) J’apprenais (le 2011-12-30 à Canal Savoir) que la plupart préféreraient être malheureux dans un milieu qu’ils connaissent qu’heureux, dans un autre qu’il leur est étranger.
(2) Observez les bustes de Platon ou de Socrate et vous remarquerez que ces derniers trahissent la volonté inouïe des pionniers de l’esprit.