Le jeudi 16 juin 2011

PolitiqueQuébec

Les Québécois veulent-ils vraiment Legault?

Il y a toute une marge entre les commentaires assortis de réserves de Jean-Marc Léger et la manchette tonitruante du Devoir

Par Richard Le Hir

Pour le mouvement indépendantiste, les conclusions sont claires. Il doit consacrer tous ses efforts à la démonstration de la pertinence de son option dans le contexte politique et économique actuel, en profitant de chaque occasion que lui fournissent les événements pour le faire, quelle que soit la scène sur laquelle ils se déroulent.

Le Devoir titrait cette semaine « Les Québécois veulent Legault » sur la base d’un sondage effectué par Léger Marketing. Le titre du Devoir surprend, parce qu’une lecture attentive de l’article et des données du sondage ne permet pas d’en arriver à une conclusion aussi tranchée quant à l’appui dont jouirait François Legault auprès des Québécois.

En effet, Jean-Marc Léger, le sondeur, observe que les Québécois ont surtout « un désir profond de changement » et que, « pour l’instant », c’est François Legault qui incarne le changement », tout en prenant bien la peine de relativiser à l’extrême la faveur dont jouit ce dernier :

« Il faut faire attention à l’interprétation qu’on fait des intentions de vote de François Legault. […] Il ne faut pas penser que s’il y avait une élection aujourd’hui, François Legault remporterait les élections, loin de là. Ça peut bouger dans toutes les directions. »

On conviendra qu’il y a toute une marge entre les commentaires assortis de réserves de Jean-Marc Léger et la manchette tonitruante du Devoir.

Ce qu’il faut donc retenir de ce sondage, c’est la confirmation du profond désir de changement que nous avions déjà été à même de constater à l’occasion de la dernière élection fédérale. Pour ce qui est de la capacité de François Legault de pouvoir capitaliser sur celui-ci, c’est une toute autre affaire. On n’improvise pas un parti de gouvernement du jour au lendemain. Et je prends bien la peine de préciser un « parti de gouvernement » pour faire une distinction très claire avec un « parti d’opposition ».

Tant le PLQ que le PQ sont des partis de gouvernement. L’ADQ avait aussi cette prétention au départ, mais tant qu’elle était dirigée par Mario Dumont, l’ADQ n’est jamais parvenue à démontrer qu’elle était autre chose que le parti de son chef, et tant le chef que le parti en ont payé le prix. Aujourd’hui, l’ADQ pourrait avoir cette possibilité si François Legault y greffait son mouvement, mais il n’est pas dit que ce soit une perspective envisageable, ni que cette greffe prendrait facilement.

Monter de toutes pièces un nouveau « parti de gouvernement » est un exercice difficile qui prend du temps, comme s’en souviendront ceux qui ont participé aux efforts pour mettre sur pied le PQ. Entre le moment de sa création et sa prise de pouvoir, il s’est écoulé 8 ans. Et Dieu sait si à l’époque le PQ incarnait un espoir de changement. Même si le nouveau parti de François Legault devait bénéficier d’une conjoncture particulièrement favorable, on voit mal comment il parviendrait à brûler toutes les étapes de la formation d’un parti et d’une équipe de gouvernement crédibles d’ici à la prochaine élection, lorsqu’on connaît tous les obstacles à surmonter.

Ceux qui seraient tentés de référer à l’expérience du Bloc Québécois ou même de la dernière victoire du NPD au Québec devraient se souvenir que le Bloc n’a jamais eu vocation à être un « parti de gouvernement », et que le NPD, même s’il a cette vocation, n’a jamais été perçu par les électeurs, autant canadiens que Québécois, comme susceptible de former le gouvernement.

La seule explication raisonnable au vote des Québécois en faveur du NPD est la conclusion à laquelle ils en sont venus que la réélection du Bloc favoriserait la perpétuation du cul-de-sac, et la nécessité qu’ils voyaient de s’opposer massivement à la vision du Canada de Harper et des Conservateurs. Tout le contraire d’un choix irréfléchi ou irrationnel, même s’il peut sembler injuste pour le Bloc. Celui-ci n’était tout simplement plus le parti de la situation.

Ce que nous montrent donc les résultats de l’élection du 2 mai et le dernier sondage Léger Marketing/Le Devoir, c’est, dans le premier et le second cas, ce que les Québécois rejettent, avec en plus dans le second cas, la recherche de nouvelles approches que, « pour l’instant », Legault semble incarner.

Ceux qui seraient tentés de voir dans cette recherche actuelle des Québécois un rejet de l’indépendance seraient bien avisés de méditer soigneusement les conclusions du sondage effectué dans le cadre de l’exercice de la « Boussole électorale » de Radio-Canada pendant la campagne électorale fédérale. Pour peu qu’on montrerait en quoi l’indépendance est un choix politique pertinent dans le contexte politique et économique actuel, ils pourraient le privilégier, mais le dernier sondage Léger Marketing/Le Devoir nous indique clairement qu’ils ne croient pas que Pauline Marois et le PQ soient à la hauteur des défis qu’ils entrevoient.

Les Québécois font donc une analyse assez sophistiquée de la situation. Ils éliminent Jean Charest et le PLQ pour les raisons qu’on connaît, mais ils refusent également le jeu de l’alternance automatique avec Pauline Marois et le PQ, ne jugeant pas ces derniers à la hauteur de la situation. Tout un pavé dans la mare de Pauline !

Pour le mouvement indépendantiste, les conclusions sont claires. Il doit consacrer tous ses efforts à la démonstration de la pertinence de son option dans le contexte politique et économique actuel, en profitant de chaque occasion que lui fournissent les événements pour le faire, quelle que soit la scène sur laquelle ils se déroulent.

En effet, l’avenir du Québec ne se joue pas qu’à Québec, n’en déplaise au maire Labeaume, ni même qu’au Québec. Il se joue à Ottawa, à Toronto, en Alberta, à Washington, à New York, et dans tous les lieux où convergent des forces et des pouvoirs susceptibles de l’influencer. Les Québécois le savent, et lorsqu’ils ne savent pas, ils le sentent intuitivement.

Ils savent que le provincialisme n’a plus sa place à l’heure où les défis sont mondiaux, et ils sont bien déçus de voir leur classe politique se chamailler sur des enjeux mineurs alors que leur sécurité est en jeu sur tous les plans. L’insécurité qu’ils ressentent est un terreau fertile pour les démagogues de tout poil, et il n’est donc pas surprenant de les voir proliférer à l’heure actuelle.

Le leadership auquel les Québécois aspirent est un leadership auquel ils peuvent faire confiance dans des temps difficiles. Un leadership fort et responsable, avec une vision large. Pour l’instant, ils demeurent sur leur appétit.

7 commentaires à cet articleFlux RSS des commentaires

  1. 1 Jean Paul Tellier Le 17 juin 2011 à 11h34

    Oui pour un bon gouvernement provincial,oui au fédéralisme.Non pour un pays Québec,non à l’indépendance.

    [ « Depuis plus de 40 ans, le peuple québécois vit l’exaspération avec l’étapisme de l’indépendance.Il voit les chefs du PQ multiplier les prétextes pour ne jamais passer à l’action. Il y a toujours une nouvelle étape à franchir, un nouveau délai, un nouveau têtage.

    Si,au lieu de cacher leur option,les chefs indépendantistes s’étaient évertués pendant toutes ces années à démontrer que l’indépendance est une affaire payante et rentable, on ne constaterait aucune lassitude et aucun flottement sur le sujet au sein de l’opinion publique. Car si les hommes peuvent parfois se lasser d’une idée ou d’un rêve, jamais ils ne se lassent de leurs intérêts.

    Malheureusement,une idée,surtout quand elle est bonne, ne tarde jamais à dégénérer en entrant dans l’arène politique. C’est ce qui est arrivé avec le projet de l’indépendance du Québec.Il a été récupéré par des politicards qui désiraient uniquement prolonger leur temps de glace au Colisée de l’Assemblée nationale.»] par Jean-Jacques Nantel,Vigile,12/6/2011

    « Une pierre tombale avec ça. Ci-git le Québec, mort de peur.» Ivan Parent,Vigile,11/6/2011

    Les Québécois veulent Legault,juin 2011.

    http://ygreck.typepad.com/.a/6a00d8341c5dd653ef01538f187b39970b-800wi

    http://ygreck.typepad.com/.a/6a00d8341c5dd653ef013488756801970c-800wi

    Si la Coalition pour l’avenir du Québec de François Legault se métamorphosait en formation politique, elle figurerait au premier rang des intentions de vote, révèle un nouveau sondage Léger Marketing-Le Devoir, effectué du 6 au 8 juin 2011, auprès de 1004 personnes.

    Selon le président de Léger Marketing,un Big Bang politique pourrait se produire dans la province de Québec comme celui du 2 mai 2011 au fédéral avec le NPD.

    Document ; Sondage Léger Marketing-Le Devoir juin 2011
    http://www.ledevoir.com/documents/pdf/Sondage_13_juin.pdf

    Un parti politique né de la fusion de l’ADQ et de la CAQ, ayant à sa tête François Legault, recueillerait 41 % des votes.C’est deux fois plus que le PQ et le PLQ, qui obtiendraient chacun 21 % des votes. C’est le politicien le plus populaire.Il adopte une approche positive en présentant des solutions concrètes,alors que les autres politiciens ont davantage des approches négatives.

    Pas « d’insondable profondeur du vide ».

  2. 2 Jean Paul Tellier Le 17 juin 2011 à 14h28

    L’équipe de François Legault : l’Action Liberté Québec ( l’ALQ ].

    Tant qu’à vouloir être fédéraliste,à avoir une grosse fièvre de changement,à vouloir une résurrection du pouvoir citoyen,pourquoi pas voter en force pour l’Action Liberté Québec,la nouvelle équipe François Legault .

    La société québécoise est sclérosée et bureaucratique. Le Québec est cogéré par des puissants lobbies syndicaux et d’affaires.Depuis 1960, la gouvernance du Québec est du maternage politique. Le modèle québécois doit être réformé en profondeur.

    La sacralisation du modèle québécois socialiste et la polarisation du débat sur l’axe fédéraliste-souverainiste ont privé jusqu’ici les Québécois de débats ayant cours dans la majorité des sociétés occidentales et essentiels au redressement du Québec.

    Il est temps d’ imaginer un Québec débarrassé des influences des mouvements syndicaux et écologistes,un Québec délivré des fédérastes libéraux têteux du B.S.canadien qu’est la péréquation et des socialistes séparatistes débiles.

    Le Québec doit se doter d’une droite fière, forte et organisée. La droite au Québec a besoin d’ un véhicule commun conduit par M.François Legault .

    Il est temps de s’attaquer à un État obèse et tentaculaire,un indésirable excessivement présent dans notre chambre à coucher .

    Depuis 1960,cinquante ans,le gouvernement du Parti Libéral du Québec et celui du Parti Québécois ont un seul talent. Vider toujours plus le porte-monnaie de chaque contribuable.

    Ils dépensent tout ce qu’ils peuvent prélever sur nos revenus. S’ils manquent d’argent,le PLQ et le PQ nous endettent avec des emprunts. Ils utilisent les déficits pour gonfler les dépenses et multiplier les faveurs.

    Ils ont un seul savoir-faire : alourdir le fardeau fiscal des contribuables pour des coûts croissants de programmes à assumer par de moins en moins de travailleurs.

    Le PLQ et le PQ ont comme compétences : l’inefficacité,
    l’irresponsabilité,la dissimulation,l’incohérence.

    Pour se libérer de la magouille ,de la corruption et du mensonge de la gang libérale,pour se débarasser du tournage en rond à se morde la queue et de l’art de chicaner des péquistes,il est nécessaire, pour le Québec,d’élire un gouvernement majoritaire de l’Action Liberté Québec dirigée par le Premier ministre,M.François Legault.

    Avec le PLQ et le PQ,c’est la création de la pauvreté,l’émigration de notre jeunesse adulte vers un pays étranger pour plus de liberté économique.

    Avec l’ALQ,c’est enfin la vraie création de la richesse pour les québécois,un vrai développement socio-économique moderne durable et profitable.C’est un nationalisme pragmatique et francophone.C’est le Québec qui se prend en main avec une diminution de l’intervention gouvernementale et plus d’individualisme.C’est proposer de redonner du pouvoir aux citoyens du Québec. C’est le Québec tourné vers le libéralisme économique pour la population et les gens d’affaires.

    L’Action Liberté Québec avec l’équipe Legault,c’est l’incarnation d’un leadership de conviction face à un consensus mou.L’ALQ refuse d’enfler le compte en banque des tinamis et de donner aux québécois des choses que leur gouvernement n’a pas les moyens de payer.Le nouveau parti de l’équipe Legault,l’ALQ,refuse de continuer à pelleter aux générations futures le coût de programmes sociaux généreux.

    Voter l’Action Liberté Québec,voter l’Équipe Legault,c’est vouloir ressusciter la confiance envers votre gouvernement provincial et ses institutions, pour votre profit.C’est voter pour vivre selon nos moyens,pas à crédit.C’est voter pour éliminer rapidement l’endettement des institutions du Québec.C’est constituer dix-sept Assemblées régionales avec le financement nécessaire pour leurs responsabilités usuelles et nouvelles. C’est remette en question un multiculturalisme trop naïf pour défendre vigoureusement l’identité québécoise.

    Pour éviter la catastrophe et remettre leur province sur les rails, les Québécois, doivent cesser de se laisser distraire par le débat constitutionnel et adopter des mesures de gouvernance drastiques.Seule l’équipe Legault de l’Action Liberté Québec peut réaliser ça.

    source; les groupuscules de droite,le Réseau Liberté Québec,Gesca,l’Institut économique de Montréal,
    l’Institut Fraser,la Coalition pour l’avenir du Québec,etc.

  3. 3 Jean Rousseau Le 17 juin 2011 à 15h15

    IL NE FAUDRAIT PAS OUBLIER L’AUTRE DANS L’ÉQUATION

    “Les Québécois le savent, et lorsqu’ils ne savent pas, ils le sentent intuitivement” (Richard Le Hir).

    Il y en a qui s’intéresse à un sujet pour espérer en vivre et un petit nombre, pour améliorer le sort de l’humanité. Ces derniers sont rarement reconnus car ce qu’ils proposent heurteront les vues des démagogues (ou autres profiteurs). Le projet de l’Indépendance semble constituer un pas en avant, mais l’analyse objective fera ressortir son caractère émotif d’ascendance religieuse (s’étayant sur un déni de la réalité).

    Les chercheurs en psychologie sociale attesteront que la grande majorité se comportent essentiellement telles des copies carbone des valeurs sociales dominantes. Le moyen de changer cela serait d’investir temps et argent pour concevoir un projet éducatif qui saurait procurer du jugement (en plus des connaissances). Pour ce faire, il conviendrait de changer du tout au tout les prémisses. Non plus concevoir le citoyen tel un citron à presser, mais au contraire, comme un associé à avantager.

    “L’enfant naît bon, c’est le milieu qui le corrompt” (Jean-Jacques Rousseau).

    Mon expérience avec les jeunes chômeurs m’avait enseigné que la plupart veulent intensément apporter leur contribution. La magouille et la partisannerie viennent anéantir les effets de ces précieuses prédispositions. Le peuple comme l’enfant apprend par l’exemple.

    M. Legault semble représenter l’homme d’État qui peut réfléchir pareillement aux hommes de sciences.

    Jean Rousseau, B. Ps
    Conseiller en psychologie de la perception
    Courriel ; jeanrousseaùu1956@live.ca

  4. 4 clovis simard Le 21 octobre 2011 à 15h02

    Blog(fermaton.over-blog.com).No-22, THÉORÈME DU GUERRIER.- Les VERTUS en JUSTICE ?

  5. 5 clovis simard Le 21 octobre 2011 à 15h02

    Blog(fermaton.over-blog.com).No-22, THÉORÈME DU GUERRIER.- Les VERTUS en JUSTICE ?

  6. 6 pagerry Le 28 novembre 2011 à 11h41

    Legault est un autre opportuniste qui veut, par tous les moyens, s’inscrire aux archives de l’histoire des pachas et autres épaves qui sont venues s’échouer sur les berges de la politique provincialiste, tout comme Charest nous est arrivé des débordements des affluents conservateurs d’Ottawa. Un autre millionnaire qui croit pouvoir surfer sur les écumes de l’impopularité de l’actuel gouvernement Charest. Il ne sera pas plus choisi ni élu Premier Ministre du Québec, que Régis Labeaume ne fut choisi et élu Premier Magistrat de Québec. Il y a une majeure différence et une impossible conciliation entre voter contre le gang à Charest et voir passer Legault, comme ce fut le cas, à Québec, quand l’électorat a massivement voté contre Ann Bourget et que l’opportuniste petit bougon à talons rechaussés, Régis Labeaume, a compris qu’il avait été élu et mandaté pour insulter et écraser tout le monde. C’est ce qui est aberrant à Québec comme au Québec. LES ÉLECTEURS QUÉBÉCOIS, en pourcentages infimes qui ne légitiment aucun têtard majoritariste, votent CONTRE. Ça nous a donné Labeaume, comme ça risque de nous donner Legault et des résultats d’une nullité absolue. Compte tenu que Madame Pauline Marois est la cible de cribles misogynes sans pareils et que Legault, la coquille vide d’un opportunisme inqualifiable, risque de passer, je préfère Charest, en dépit des collusions et de la corruption, en dépit de la dilapidation des richesses naturelles du Québec, en dépit d’un Plan Nord sans Plan Centre, ni Sud, ni Ouest, ni Est, même si la faillite pluriel pointe à l’horizon d’un Québec devenu la pitoyable Grèce de l’Amérique du Nord, un tiers-monde que «l’Union Canadienne» tentera de sauver…

  7. 7 clovis simard Le 23 février 2012 à 18h15

    Mon Blog(fermaton.over-blog.com),No-19. – THÉORÈME CHAREST LE MAUVE. – L’AVENIR DE JEAN CHAREST.

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Article original: Vigile.net - Richard Le Hir

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Profil: Avocat et conseiller en gestion, ministre délégué à la Restructuration dans le cabinet Parizeau (1994-95)

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Fiche de l'article

Cet article de 1,009 a été rédigé par Richard Le Hir il y a 12 ans et 9 mois, le jeudi 16 juin 2011.

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