“Je pense donc je suis”

Cette citation du maître à penser Descartes se trouve en mesure d’éclairer nos lanternes quant au port des signes ostentatoires. Scrutons d’abord les causes des revendications des religieux à vouloir en faire étalage et/ou à tenter de dicter leurs normes à la fonction publique, etc. Derrière ce phénomène se dissimule leur volonté d’imposer leur vision du monde au reste, ce qui correspond dans les faits à les contaminer. Ainsi, les juifs continueraient à véhiculer cette propagande insinueuse laissant croire qu’ils sont le peuple élu (pareillement aux nazis jadis), ce qui leur permettraient de prolonger ces abus de régime à l’égard des palestiniens, (sans être trop dérangés).

Malgré leur admonestation à l’endroit d’Israël concernant ces nouvelles constructions à Jérusalem-Est, le Canada et les Etats-Unis, suivant leur habitude, ne poseront guère de gestes significatifs afin de rétablir la justice, je crois. Le jeu des alliances expliquera ici autant leur probable nonchalance que cette collusion célèbre du Vatican avec les nazis, au préjudice des hébreux, lors de la seconde guerre mondiale.

Que ressort-il de ce préambule? Peut-être cette évidence qu’il nous faille enseigner dans un premier temps les fondements de la connaissance afin de faire apprécier la valeur des faits vérifiables ou véridiques. De même, notre devoir de délaisser ces délires érigés en systèmes (religions), lesquels consistaient primairement à vouloir tirer avantage sur les autres. Les concevoir telles des séquelles de la préhistoire.

Les alliances de l’avenir, au lieu de laisser commettre ou encourager la faute, la stopperont. Et les gens enfin libérés des jougs de ces univers factices, pourront goûter au bonheur de s’approprier leur être, tels que l’ont faits tous ceux à l’étude de nos jours.

Mots clés: Nouvelles brèves, Société, Israël, liberté, philosophie, religion