Le PQ appuie la Coalition pour la promotion de l’enseignement de l’histoire au Québec

« De tout temps, on a souligné l’importance de bien connaître le passé pour avancer avec assurance dans l’avenir, a indiqué la chef de l’opposition officielle et chef du Parti Québécois, Pauline Marois, en soulignant l’initiative de la Coalition pour la promotion de l’enseignement de l’histoire au Québec. Le succès du Moulin à Paroles, tenu la fin de semaine dernière, démontre bien la nécessité de revaloriser la connaissance de l’histoire nationale du Québec. Il y a un certain nombre de faits et un certain nombre de textes qui doivent être connus et étudiés. Il est impératif de s’assurer que nos élèves aient l’occasion de le faire à l’école, et ce, à tous les niveaux », a ajouté Pauline Marois.

« Nous avons exprimé à plusieurs reprises les préoccupations qui sont celles de la Coalition. À chaque fois, la ministre Michelle Courchesne nous a dit qu’il fallait s’en remettre au travail des professeurs dans nos écoles. Aujourd’hui, ce sont eux qui viennent nous dire qu’il y a un problème. Manifestement, c’est une question avec laquelle le gouvernement est mal à l’aise. Les libéraux semblent agir de mauvaise grâce lorsqu’il est question de notre histoire nationale », a indiqué le député de Borduas et porte-parole en matière d’éducation primaire et secondaire, Pierre Curzi.

Par ailleurs, Pauline Marois a tenu à rappeler son engagement à l’égard de l’enseignement de l’histoire entériné par le conseil national du Parti Québécois lors de l’adoption du Plan d’action sur la gouvernance souverainiste au printemps 2008. Depuis, une équipe formée d’experts et d’historiens a travaillé avec rigueur à la rédaction d’un rapport dont les orientations générales guideront les actions d’un futur gouvernement du Parti Québécois. « C’est un engagement ferme qu’un gouvernement du Parti Québécois, dès son élection, renforcera l’enseignement de l’histoire nationale du Québec », a conclu Pauline Marois.

Mots clés: Québec, Société, éducation, histoire