En 2008, quand Thierry Vandal a cédé nos droits, le gouvernement libéral était dans le coup et a endossé cette décision. Dans l’intérêt de qui? Cette entente ne peut demeurer secrète. La ressource n’appartient pas à Pétrolia, mais aux Québécois.
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La gestion d’Hydro-Québec par Thierry Vandal est une succession de faux pas et la ministre des Ressources naturelles, Nathalie Normandeau, par son inertie, est en train de miner la confiance que les Québécois ont envers leur société d’État.
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Charest n’a pas été clair et n’a aucune autorité sur ses sociétés d’État. Lui et ses ministres peuvent bien affirmer que la politique de bonis doit être revue, ça n’a rien changé : « Boni » Vandal passe à la caisse, encaisse son boni plus élevé que l’année passée. malgré ses bévues.
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Dans les faits, le gouvernement fédéral empêche le Québec de se développer et on dirait que ça fait l’affaire du gouvernement Charest. À l’évidence, le gouvernement Charest n’a pas de vision claire et structurée sur la façon dont il entend amener le Québec à une indépendance énergétique cohérente et progressive.
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Il est impossible d'apprécier à sa juste valeur cette 2ème entente d'achat d'Énergie Nouveau-Brunswick parce que le texte est gardé secret. Je demande instamment que le texte de cette entente soit dévoilé intégralement.
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Le Parti Québécois s’inquiète de l’utilisation accrue de la route 138 durant les travaux de construction de la centrale La Romaine. Or, Hydro-Québec fait fi de leurs préoccupations et des conséquences de dégradation rapide de la route 138.
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Cette semaine dans l’actualité, après l’indécision chronique du ministre de la Santé sur le dossier de la loi 34, un autre dossier dans lequel le gouvernement Charest traîne de la patte: le manque de jugement de Thierry Vandal.
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Nous n’avons plus confiance en les capacités de M. Vandal à assumer la direction de la plus grande et la plus importante société d’État du Québec. Le président‑directeur général d’Hydro-Québec est maintenant affaibli, même certains ministres du gouvernement ne tolèrent plus ses incartades. La situation parle d’elle-même et j’espère que le premier ministre l’a comprise.
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Le président d’Hydro-Québec semble avoir fait passer ses intérêts personnels avant les intérêts collectifs des Québécoises et Québécois. En tant que président d’une société d’État, c’est inacceptable.
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