Ainsi, les Suédois sont capables, mais les Québécois comme Jacques Brassard ne le seraient pas? Au Québec, comme en Suède, on a des fermes, des forêts ou encore des laiteries qui génèrent des déchets et résidus biologiques qui peuvent être transformés en biogaz. Pas de temps à perdre et de risque à prendre avec le gaz de schiste.
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