La permission de penser

Afin d’éclairer ceux que cela intéresse, il conviendrait d’aller au fond du problème de ces signes ostentatoires: voile, nikab, burka. Les femmes refusant de les porter sont souvent victimes de massacres, (ex.: se faire balafrer), dans leur pays d’origine.

Avant d’en arriver à la situation vécue en Kabylie ou au Liban, où certains musulmans ont tendance à imposer leurs règles, souvent violemment, aux populations locales, il faudrait absolument réagir consciemment.

À mon avis, un gouvernement composé de personnes sérieuses, se devrait de faire tester psychologiquement tous les demandeurs pour l’immigration, afin de rejeter tous germes de fanatisme, (crime d’honneur, etc.). Ces derniers, fragilisés par l’introjection d’un délire virulent, représenteront des proies faciles pour les imams dérangés ou autres, tel ce psychiatre qui a pétés les plombs dernièrement et tuer beaucoup de gens sur une base militaire aux États-Unis.

Plusieurs musulmans ne reconnaissent pas l’égalité des sexes, ce qui crée des tensions, situation dont les grandes personnes pourrait facilement se passer. Ces mesures feraient réfléchir quiconque et pourraient amener des modifications bénéfiques chez ces populations, tandis que le statu quo a plutôt l’effet de promouvoir leur aliénation et leur inadaptation aux cultures d’accueil.

Hormis ces cas malheureux, existe aussi des arabes d’une finesse d’esprit remarquable, susceptible de révéler quelqu’un à lui-même, mieux que ne le feraient nos plus illustres intellectuels. Créer un organisme venant en aide aux femmes et aux homosexuels, subissant les coutumes arriérées de toutes religions ou traditions, aiderait considérablement ces derniers et procurerait au Québec ses lettres de noblesse.

Comment jugerions-nous un chirurgien qui, après constatation de symptômes cancéreux sur un organe, contaminerait ensuite les autres composantes du corps?

Mots clés: Nouvelles brèves, Société, égalité, immigration, religion