Un an plus tard, trois militants du Réseau de Résistance du Québécois font toujours face à la justice canadienne. Leur procès poursuit son cours.
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Il est étonnant que les membres du RRQ aient été l’objet d’un mandat d’arrestation, aient été incarcérés pendant une nuit et aient été transportés avec menottes aux pieds – des pratiques plutôt inhabituelles pour ce type de méfait. Il y lieu de s’inquiéter du retour à cette tactique de la police et de la Couronne de détourner le système judiciaire afin d’écarter des militants de la place publique.
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La répression canadienne s’intensifie! Trois militants du Réseau de Résistance du Québécois ont été placés derrière les barreaux cette semaine. Durant leur séjour derrière les barreaux, les agents de police se sont moqués d’eux et de leurs idées politiques. Les policiers qui se sont chargés du dossier de nos militants qui auraient fait des graffitis politiques l’ont en effet confirmé. Ils leur ont dit que la Ville de Québec leur a donné la mission de faire arrêter les graffiteurs politiques, car cela ne donne pas une bonne image de Québec pour son 400e et que de généreuses ressources nécessaires à l’atteinte de cet objectif leur avaient été accordées.
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