L’existence est un parcours qui réserve des surprises agréables, d’autres, qui le sont moins.
En préambule, je voudrais vous augurer beaucoup de courage, afin d’affronter les traitements éventuels, qui vous permettront de faire face à cette pathologie terrible et multiple, dont les humains ne semblent pas arriver à en démonter le mécanisme.
Décider de sa mort, devant une maladie en phase terminale, une souffrance insupportable, est un droit, les états quels qu’ils soient, ne semblent pas très enclins à accorder ce droit, sous prétexte d’abus éventuels.
Bien à vous, et bon courage, Léo Volemane.