Commentaires sur : Le Québec n’a pas d’avenir dans le Canada https://www.ameriquebec.net/actualites/2009/12/03-le-quebec-na-pas-davenir-dans-le-canada.qc Média québécois citoyen Tue, 08 May 2018 15:49:17 +0000 hourly 1 https://wordpress.org/?v=4.9.25 Par : Jean Rousseau https://www.ameriquebec.net/actualites/2009/12/03-le-quebec-na-pas-davenir-dans-le-canada.qc#comment-12103 Fri, 04 Dec 2009 01:30:23 +0000 http://www.ameriquebec.net/actualites/2009/12/03-le-quebec-na-pas-davenir-dans-le-canada.qc#comment-12103 « Le Québec a-t-il un avenir dans le Canada? »

Avant de tenter de répondre à cette interrogation, je vais situer le lieu de mon propos: la psychologie clinique. D’aborder un problème sous un nouvel angle fait apparaître à l’occasion des vérités indétectables autrement. Si je me réfère au résumé du dernier livre de Jacques Parizeau : « La souverainteté du Québec. Hier, aujourd’hui et demain »
qu’a fait un journaliste dont le nom m’échappe, l’ancien premier ministre met en relief le fait que des experts internationnaux aient affirmés l’inaltérabilité des frontières du Québec en cas de souverainteté.
Pour un joueur d’échecs, ce qu’en pense qui que ce soit ne peut en aucune façon constituer une vérité ou une référence absolue. Ce ne sont que des opinions parmi d’autres. Allons donc consulter les faits. Dernièrement une province de la Goergie a réclamée son indépendance (ou un statut particulier). Saisissons bien les particularités de l’évènement. La Russie se trouvait dernière prête à intervenir et elle l’a faite. D’imaginer que les anglais vont nous laisser détruire le Canada sans tenter de nous en empêcher de toute leurs forces relève de la pensée magique. Si les États-Unies se trouvait à nos côtés dans cette démarche d’affirmation, il nous serait permit d’espérer par contre raisonnablement. Mais ce n’est pas le cas.
Le joueur se voit ainsi contraint de changer de tactique.
La proposition dénommée « Meech » amenée par M. Mulroney
s’étayait sur des valeurs nobles où l’habile négociateur s’était défoncé afin de nous faire une place convenable à l’intérieur de ce pays.
Il mous faut revenir à ses idées et essayer de comprendre pourquoi ça n’a pas fonctionné.
De donner un statut distinct au Québec (ou à un ennfant dans une famille) peut faire en sorte de créer de la jalousie chez les autres même si le discours est valable. Mais si on accorde un statut distinct à chacune des provinces, le nôtre sera aussi acquis. À partir de là, il sera plus aisé de faire comprendre à tous la valeur que constitue pour le Canada, le fait français du Québec, si on tient commpte de ce qui suit.

Toutes majorités d’individus ont tendance à écraser les minorités. Les espagnols des siècles derniers ont tués 50 millions d’indigènes lors de l’invasion de l’amérique du sud. Maintenant essayons d’imaginer ce qu’il serait arrivé si ces visiteurs, au lieu de rester ancrés dans ce trait animal de tout dominer et de tout anéantir.
IImaginons aussi toute la richesse pour les canadiens de posséder deux références (ou plus) pour percevoir la réalité.
Les connaissances sur nous-mêmes sont de loin plus valables que celles que nous acquérons sur l’espace.
Il nous faut pour réussir à solutionner ce conflit qui affecte gravement tous les canadiens, que les populations soient enseignées à distinguer les hommes politiques dignes d’exercer le pouvoir de ceux qui en n’ont pas suffisamment l’esprit. D’aider fortement les véritables acteurs de la nouvelle alliance à se faire élirent et cela à travers tout le Canada.

]]>
Par : Jean Rousseau https://www.ameriquebec.net/actualites/2009/12/03-le-quebec-na-pas-davenir-dans-le-canada.qc#comment-12101 Thu, 03 Dec 2009 23:10:11 +0000 http://www.ameriquebec.net/actualites/2009/12/03-le-quebec-na-pas-davenir-dans-le-canada.qc#comment-12101 “Le Québec a-t-il un avenir dans le Canada?”

Avant de tenter d’y répondre, je vais situer le lieu de mon propos: la psychologie clinique. D’aborder un problème sous un nouvel angle fait apparaître à l’occasion des vérités indétectables autrement. Si je me réfère au résumé du dernier livre de Jacques Parizeau : “La souverainteté du Québec. Hier, aujourd’hui et demain”
qu’a fait un journaliste dont le nom m’échappe, l’ancien premier ministre met en relief le fait que des experts internationnaux aient affirmés l’inaltérabilité des frontières du Québec en cas de souverainteté.
Pour un joueur d’échecs, ce qu’en pense qui que ce soit ne peut en aucune façon constituer une vérité ou une référence absolue. Ce ne sont que des opinions parmi d’autres. Allons donc consulter l’expérience. Dernièrement une province de la Goergie a réclamée son indépendance (ou un statut particulier?). Saisissons bien les particularités de la situation. La Russie se trouvait dernière prête à intervenir et elle l’a faite. D’imaginer que les anglais vont nous laisser détruire le Canada sans tenter de nous en empêcher de toute leurs forces relève de la pensée magique. Si les États-Unies se trouvait à nos côtés dans cette démarche d’affirmation, il nous serait permit d’espérer par contre raisonnablement. Mais ce n’est pas le cas.
Le joueur se voit ainsi contraint de changer de tactique.
La proposition dénommée “Meech” amenée par M. Mulroney
s’étayait sur des valeurs nobles où le doué négociateur s’est défoncé pour nous faire regagner dignement notre place à l’intérieur de ce pays.
Il faut revenir à ses idées et essayer de comprendre pourquoi ça n’a pas fonctionné.
De donner un statut distinct au Québec (ou à un ennfant dans une famille) peut faire en sorte de créer de la jalousie chez les autres même si le discours est valable. Mais si on accorde un statut distinct à chacune des provinces, cela se prendra avec bonheur. À partir de là, il sera plus aisé de faire comprendre à tous la valeur que constitue pour le Canada, le fait français du Québec, si on tient commpte de ce qui suit.

Toutes majorités d’individus ont tendance à écraser les minorités. Les espagnols lors des siècles derniers ont tués 50 millons d’indigènes lors de l’invasion de l’amérique du sud. Maintenant essayons d’imaginer ce qui serait passé si les chefs européens, au lieu de s’en tenir ancrés dans cette animalité de tout dominer et de tout anéantir, auraient faits preuve d’humanité et de saine curiosité envers ces peuples visités et leurs connaissances.
Imaginons aussi quelle richesse procurerait aux canadiens de posséder deux références pour percevoir la réalité.
Les connaissances de nous-mêmes sont de loin plus valables que celles que nous acquérons de l’espace.
Il nous faut pour réussir à solutionner ce conflit qui affecte gravement tous les canadiens y compris les québécois, que les populations soient enseignées à distinguer les hommes politiques dignes du pouvoir et d’aider ces derniers à se faire élire à travers tout le Canada.

]]>
Par : Just One https://www.ameriquebec.net/actualites/2009/12/03-le-quebec-na-pas-davenir-dans-le-canada.qc#comment-12097 Thu, 03 Dec 2009 19:18:40 +0000 http://www.ameriquebec.net/actualites/2009/12/03-le-quebec-na-pas-davenir-dans-le-canada.qc#comment-12097 LE QUEBEC N’A PAS D’AVENIR tout court

Ça c’est la triste réalité.

Ce n’est pas avec un parti comme le P.Q. qui, lorsqu’il était au pouvoir, s’est prostitué auprès de tout ce qu’il y a de minorité afin de sucer un vote de plus pour la souveraineté que les Québécois de souche vont embarquer dans une épopée d’indépendance. La seule chose que le P.Q. nous a prouvé, c’est qu’il excelle à écraser le peuple sous des structures gouvernementales et des tribunaux administratifs !

]]>
Par : cervopitek https://www.ameriquebec.net/actualites/2009/12/03-le-quebec-na-pas-davenir-dans-le-canada.qc#comment-12090 Thu, 03 Dec 2009 12:38:53 +0000 http://www.ameriquebec.net/actualites/2009/12/03-le-quebec-na-pas-davenir-dans-le-canada.qc#comment-12090 Il y a une autre solution que la souveraineté pour le Québec. Posez vous la question où on en serait aujourd’hui si le référendum de René Lévesque avait été accepté. Il voulait une association,la même monnaie et des institutions communes. Le problème de la souveraineté c’est la réaction des canadiens qui minerait les échanges pendant au moins une génération et les francophones hors Québec en paieraient largement la note.
Ce qui dérange les provinces c’est accorder des pouvoirs au Québec qu’elles n’ont pas. Mais ce qui est bon pour le Québec l’est aussi pour les autres provinces. Le bloc devrait se saborder, devenir un parti fédéraliste et offrir à toutes les provinces canadiennes ce qu’ils veulent pour le Québec. C’est-à-dire, limiter le pouvoir de dépenser du fédéral, restitution de l’impôt sur le revenu des particuliers aux provinces, prise en charge de toute la francophonie canadienne par le Québec (même l’éducation), obliger Ottawa à respecter les traités internationaux qu’il a signé : enfants soldats, environnement etc., et à l’interne, restitution des sommes volées à l’assurance emploi. Le fédéral devrait être financé directement par les province en fonction d’un budget précis pour assurer son fonctionnement et non balayer son déficit dans la cour des provinces, ce qui ne manquera pas d’arriver à nouveau avec l’énorme déficit des conservateurs, après celui des libéraux. Pour ce qui est de l’environnement, Ottawa devrait passer une loi qui le force à adopter les normes les plus sévères déjà appliquées dans les provinces. La souveraineté est un mal pour un bien mais une véritable association est encore mieux.

]]>