Vous dite ceci:
“Ce gros titre journalistique cela ce vend bien et sa fait peur à la population. On voit que cela fonctionne avec vous Monsieur Plourde.”
En ce qui concerne les techniques de peur, le Canada est passé maître dans ce domaine.
Je crois que vous n’avez pas lu le dit traité de l’approche commune ni analysé ses implications.
Je vous invite à lire mon commentaire précédent fait à l’intention de M. Montour et de vous familiariser avec mes sites, saglacweb.blogspot.com et saglacweb.com.
Tout ce que j’avance est documenté.
Les Québécois sont inconscient des manipulations faites contre eux et leurs intérêts.
Note:
Toutes nos institutions sont présentement sous la botte de la fédération, tout y passe, Hydro, CRE, Médias, etc.
Je crois qu’il restait à M. Charest la caisse de dépôt à liquider, d’où son intérêt pour obtenir un gouvernement majoritaire ou il ne sera pas tenu de nous dévoiler le résultats de ses machinations.
Je ne crois pas M. Charest lorsqu’il prétend ne pas vouloir s’impliquer dans les politiques de la caisse.
Je crois plutôt que la profusion de démissions récentes des meilleurs éléments de cette organisation ont été générés par la modification des politiques d’investissement de la Caisse ordonnés par le Charest Charest.
La Caisse de dépôt, en 2006, “c’était” 150 milliard de dollars d’investissement de nos fonds de pensions. L’une des meilleures gestions de porte-feuilles au monde et reconnue comme telle.
Selon les rumeurs persistantes, le présent gouvernement aurait modifié les critères d’investissement de l’organisation pour l’obiger à faire des placements à risques élevés.
Vous et moi sommes propriétaire de ces argents et on nous tiens à l’écart des résultats de ces opérations, il faut se pauser la question du pourquoi.
Selon mes sources, les pertes encourues par la caisse suite à cette décision serait aux environs de 40 à 50 milliards.
Pour vous donner une idée de ce que 50 milliards représente, il s’agit d’un détournement par incompétence de plus de $7,000.00 par citoyen, hommes, femmes et enfants québécois.
Les citoyens dans l’ensemble continue de refuser de s’intéresser à la politique, je crois qu’ils le devraient, et cela presse.
Il y donc vraiment de quoi paniquer. Si des citoyens ont peur, ils ont raison car c’est on ne peut plus inquétant.
Que vous soyez autochtones, francophones, anglophones ou immigrants vivant au Québec, de telles décisions vont vous toucher directement dans vos revenus de pensions présents et futurs.
On a donc tous intèrêts, comme citoyens Québécois, à mettre de côté nos différences et mettre en évidence nos intérêts communs.
Nous vivons une situation de désinformation et de propagande.
Le Canada va nous mettre à genoux en nous retirant nos actifs et il y a lieu de s’en inquiéter.
Pourquoi nous cache-t-on les états financiers et résultats de notre plus importante institution.
C’est très inquiétant.
A bientôt;
Jean-Pierre Plourde,
saglac@gmail.com
Il ne s’agit pas de
]]>Un retour du balancier en quelque sorte. Il s’agit plutot d’avoir un droit de regard sur le territoire mentionné, que ce soit par l’utilisation qui en est fait depuis 150 ans, etc. Saviez vous qu’avant 1829 ou à peu pret, pas un colon de la région de Québec ou presque ne connaissait ce territoire et il ne s’aventurait pas au delà des seigneuries à moins d’être accompagné d’un guide amérindien de Lorette (Wendake).
Ce territoire a été accepté et reconnu lorsque survint un conflit en 1829 pour l’utilisation de ce territoire de chasse entre algonquin et abénaquis sur la Rive sud. Voyant cela le chef de guerre huron-wendat MicheL Sioui a rencontré le chef Algonquin de trois-Rivière François Latano en présence de Jucherau Duchesnay représentant sa Majesté. Sioui a présenté un collier de Wampum aux chefs Algonquins qui ont reconnu la véracite du wampum représentant les entente passé et de ce fait du territoire Wendat. Ce territoire a deplus été appuyé par le jugement de la cour suprème dans l’arret Sioui en 1990 eu égard au Traité Murray.
Pour ce qui est du titre aborigène il faut prouver sa présence sur ce territoire avant l’affirmation de la souverenaité de la courrone anglaise (1763) ce qui est plausible considérant la présence des Attighegnongnahac ou huron-wendat (Nation de la corde) depuis 1650 dans la région de Québec. Nous pouvons également avoir la prétention d’être du moins en partie descendant des Iroquouiens Laurentiens ou Nadouek qui était là à Québec en 1534 à l’arrivée de Jacques Cartier. Je vous invite à lire l’article de la revue recherche amérindienne au Québec à ce sujet.
Les hurons-wendat on en n’entend pas parler et c’est bien ainsi mais lorsqu’il y a une forme d’affirmation quelquonque ce sont des méchants indiens qui veulent tous s’approprier. Soi beau et tait toi.
Vous saurez qu’on en paye des Impôts et des taxes plus que vous ne le pensez.
En terminant, j’ajouterai qu’en 1895 à la création du Parc des Laurentides nos pères et grand pères qui ont continué à parcourir ce territoire comme leurs pères ce faisait courir par les gardes chasse et envoyé en prison comme s’il était des voleurs ou des braconiers en étant sur un territoire qu’il connaissait depuis des siècles. Sur ce bonne journée
]]>Dans une société évoluée et libre, la démocratie passe par la liberté d’information et de communication des citoyens.
Or le Québec (est) membre d’une fédération qu’il n’a pas choisie et qu’il a grandement contribué a développer.
Jean-Chrétien à l’occasion du référendum de 1995 a avoué verbalement que le Canada se considérait en guerre contre le Québec. Des dépenses de centaines de millions ont été générées par la fédération contre l’un de ses membres à cette occasion. Le Québec n’est donc pas une société libre, mais un état prisonnier sous une forme de dictature de la peur.
Les techniques de guerre non déclarée sont appliquées contre notre société afin d’en arriver à éliminer notre droit d’être et de participation active dans l’avenir du Canada. Il en résulte un contrôle des médias et une déviation des intérêts de notre société en faveur de la fédération. Voir le texte, Conflits d’intérêts, sur saglacweb.blogspot.com.
La présence de M. Charest à Québec fut planifiée d’Ottawa. L’abcense d’une structure d’acceuil suffisante nous permettant d’assimiler les immigrants à notre communauté à Montréal est également planifiée. Le but évident de cette technique est de délibérément renverser notre poids démocratique afin de limiter le droit du Québec d’intervenir sur son propre avenir et de lui retirer son poids relatif dans la destiné de la fédération.
Pourquoi vous décrire tout cela, me direz-vous?
Les lois et traités doivent-être le reflet des intérêts de la majorité des citoyens concernés par ces édits. J’ai fait la preuve que le Québec est sous tutelle de la fédération, voir les signatures de nos représentants dans le bas de l’approche commune, c’est flagrant. Ce traité se négocie entre représentants et sympathisants fédéraux. Les lois et traités signés sous de fausses représentations et en vases clos seront donc un jour contestés par nos enfants et petits-enfants comme étant la deuxième déportation massive de citoyens de ce pays, par expropriation cette fois au lieu de bateaux.
Les lois et traités n’ont aucune valeur sans le respect des citoyens concernés par ces lois et traités. Voir mon texte, le contrôle de l’information, sur saglacweb.com.
Le Canada et le Québec se dirigent vers des conflits majeurs.
Le Canada et les médias Canadiens cultivent le racisme à notre endroit depuis des années.
Ce genre de comportement est responsable de la plupart des situations conflictuelles dans le monde.
Le problème palestinien est l’un de ceux-là.
Le terrorisme mondial tire sa source de ces abus de pouvoirs.
Les risques de violence à moyen terme sont donc très élevés et j’en suis très inquiet.
Jean-Pierre Plourde.
saglac@gmail.com
En droit autochtone, la Terre appartient à celui qui l’occupe, l’utilise ou la fréquente.
L’Autochtone d’antan du Québec était un semi-nomade qui entretient un rapport spécial avec le territoire qui l’héberge, le nourrit et lui offre toutes ses richesses naturelles. C’est donc dans l’optique de la compréhension de ce qu’est une revendication du «titre indien» qu’il faut comprendre sa portée véritable en droit canadien ou québécois.
Il existe bel et bien en droit canadien un titre indien exclusif, souvent conjoint, aux peuples autochtones. De fait, tout la province et tout le pays est grevé au départ d’un titre indien qui s’est cristallisé en droit anglais et canadien avec la Proclamation royale de 1763 du roi Georges III (arrêt Delgamuukw).
Reconnaissant le territoire autochtone, Georges III a reconnu son exclusivité et s’est engagé à l’acquérir par ses propres agents avant de le revendre à ses sujets, les futurs colons, tout en réservant un usufruit aux cédants.
C’est sur la foi de cette Proclamation royale que l’Amérique du Nord est passée sous souveraineté anglaise.
Depuis, pour être valide, la cession du titre indien précédant la colonisation d’une région doit être expresse, donc conclut par traité signé par des représentants dûment autorisés.
Au Québec, contrairement aux premiers traités en Ontario en 1850 et 1851 et suivants dans les Prairies, le titre indien n’a jamais été cédé par traité, que ce soit en tout ou en partie, si ce n’est un à la Baie James en 1976 et un autre plus récent de la Paix des Braves.
La vérité est que le Bas-Canada s’est tout bonnement emparé du territoire autochtone au Québec par deux lois adoptées en 1850 et 1851 en prétendant agir ainsi pour réserver des terres aux Sauvages…
Aux yeux de certains dont je suis, ces deux actes d’expropriation sont illégaux eu égard au titre indien qui est exclusif aux peuples autochtones, une expression constitutionnalisée qui désignent notamment les Indiens et les Métis.
Des traités doivent donc être conclus pour céder le titre indien puisque Québec occupe sans droit l’ensemble du territoire québécois et ses «annexes» depuis 1850 !
De là la signature inévitable un jour d’un traité dit de l’Approche commune et autres traités semblables partout au Québec.
Ce qui ne règle toutefois pas la question du contenu des traités qui s’annoncent.
Au départ, la reconnaissance du titre indien sur un territoire ne signifie pas nécessairement l’exclusion des non-autochtones puisqu’une règle de common law exonère les tiers de bonne foi qui ont acquis des terrains.
Si expropriation il y a, les deux ordres de gouvernement risquent fort d’y avoir consenti par traité.
À toutes les parties d’y voir.
Me Pierre Montour
]]>J’ai émis un commentaire à l’article à la une: Les Premières Nations réclament la gestion commune des ressources naturelles.
Si vous voulez le fond de ma pensée sur ce traité, je vous invite à lire ce commentaire.
Je viens juste de le faire.
S’il y a refu de le conserver par l’auteur et que vous arrivez trop tard pour le lire, je vous en ferai parvenir une copie par courriel, j’y parle de référendum et de constitution en rapport avec ce faux traité.
La reconnaissance des Amérindiens du Québec doit se régler entre les Québécois et les Amérindiens, sans la présence de la fédération.
Lisez mon texte et vous comprendrez pourquoi.
Revenez me faire ici votre commentaire ou encore, si vous le faite directement sur le site en question, retournez-moi un courriel sur saglac@gmail.com pour m’en aviser.
Pour revenir à votre commentaire, je trouve que c’est faire beaucoup confiance au bon sens alors que les jeux de pouvoir n’en fait qu’une bouché.
Je considère cette attitude comme passive et dangereuse.
Les Grecs ont définis les termes de ce que doit être la démocratie.
Par définition, la démocratie nie le racisme et conjugue avec les majorités informés.
C’est cela la réalité, et c’est comme cela que doit fonctionner un pays, sans cela, on se dirige tout droit vers la catastrophe.
Vous êtes mon second plus fidèle lecteur, continuez d’échanger, cela ne peut qu’aider au débat. Votre implication est essentielle et merci de le faire.
Félix Leclerc a déclaré, La meilleur façon de tuer un homme, c’est de le payer à ne rien faire.
Ce n’est pas en donnant de l’argent à des citoyens qu’on les aides à se prendre en main, cela vaut aussi bien pour nous que pour les Amérindiens, pour ma part je suis pour une refonte de l’éducation mais cela c’est un autre débât, j’y reviendrai, j’ai d’ailleurs un article la dessus, quelque part sur saglacweb.blogspot.com
Un dernier commentaire,
Ne vous inquiétez pas si je ne donne pas signe de vie, je ne pourrai accéder à mes courriels et mon ordi avant Lundi prochain. Laissez vos commentaire tout de même.
Jean-Pierre Plourde,
saglac@gmail.com
La référence que je vous ai donné datait de 2002.
La demande d’annexion de 25,000 km carré de territoires pour le seul groupe des hurons fait beaucoup plus qu’une série de petite tache sur la carte. C’est un gros morceau, vous ne trouvez pas!
Qu’en est-il des autres morceaux réclamés par les autres groupes.
Jean-Pierre Plourde,
]]>Laissons l’avenir en décider … et, tant mieux si vous avez raison.
Dans le cas contraire, il sera un peu tard pour y réfléchir.
Vous êtes toujours le bienvenu sur ce forum.
Jean-Pierre Plourde.
]]>On ne devrait pas être là à se poser la question sur ces notions d’innu_assi, réserves, etc.
Il était prévu qu’on nous informerait correctement de ces négociations, cela n’a jamais été le cas.
Pour écrire l’ensemble de mes textes j’ai du faire un important travail de recherche et d’analyse.
Je découvre de nouvelles informations tous les jours.
Tout cela m’apparait très malsain et anti-démocratique.
Jean-Pierre Plourde,
saglac@gmail.com
L’innu_assi est le terme général décrivant le territoire attribué à chacun des groupes autochtones.
J’ai tiré les informations suivantes en passant par le site, http://www.mef.qc.ca/innu_assi.htm
Même si ce texte date déjà de 2002, il vous donnera une bonne indication de la tendance.
Il y a moins de termes techniques dans la formulation.
L’ensemble des innu_assi est donc beaucoup plus étendu que celui d’un groupe particulier.
Voici donc le texte tiré du site mef.qc.ca
“Le mardi 28 janvier 2002
Innu Assi désigne le territoire qui appartiendrait en pleine propriété aux Indiens montagnais et sur lequel ils exerceraient l’une autonomie gouvernementale. Les Indiens montagnais auraient un pouvoir général d’adopter des lois et de taxer les Québécois dans leur ghettos agrandis. Les Indiens montagnais auraient ainsi un gouvernement basé sur l’ethnie et la race.
• La superficie des Innu Assi de Betsiamites, d’Essipit et de Mashteuiatsh totaliserait 522 km 2 , soit environ le double des réserves actuelles (269 km 2 ).
• Nutashkuan disposerait d’un Innu Assi plus vaste (environ 2 500 km 2 ).
Source de l’information : Secrétariat aux affaires autochtones du Québec
Commentaire
En plus de créer un nouvel ordre de gouvernement racial au Québec, voilà 4 réserves indiennes qui seraient agrandies si « L’approche commune » était finalisée. Les vannes seraient alors ouvertes pour les 5 autres réserves montagnaises. Suivraient ensuite inévitablement le même statut pour les dix autres tribus indiennes du Québec, avec leurs 48 réserves, soit pour les Anglo-inuits : 15 réserves, les Anglo-naskapis : 1 réserve, les Anglo-mohawks : 4 réserves, les Anglo-micmacs : 3 réserves, les Malécites : 1 réserve, les Hurons-Wendat : 1 réserve, les Anglo-cris : 9 réserves, les Attikameks : 3 réserves, les Algonquins : 9 réserves et les Abénaquis : 2 réserves.
Donc, en tout, 57 nouvelles républiques parasitaires. Il serait intéressant de demander aux Québécois, par référendum, s’ils sont d’accord avec cela.”
Fin de la citation:
Embarquer la dedans, c’est mettre les doigts dans le tordeur, tous le corps va y passer. Vos petits-enfants vont surement vous demander ou vous étiez lorsque ces négociations ont eu lieu!
En 2008, je n’ai pas le chiffre exact du total des innu_assi. La zone d’influence réclamée par les Hurons en est rendu à lui seul, à 25,000 kilomètres carré, nous entrons de plein pied dans une époque trouble de contestations, de luttes de pouvoirs et d’abus de toutes sortes sans que notre majorité n’ait été consulté, et ça aussi, ça a été planifié…
En espérant vous avoir donné une réponse satisfaisante;
En impliquant pas les citoyens dans de si importantes décisions, nous sommes dans la situation ou nos élus ne défendent pas les intérêts de la population et ou la démocratie prend le bord…
Jean-Pierre Plourde.
saglac@gmail.com
saglacweb.com
saglacweb.blogspot.com
PS:Voir également la carte du Pékistan sur le même site.
]]>Contrairement aux métis, les Québécois présentent une absence de projet de société, on abandonne tout, on laisse tomber.
On ne protège pas nos acquis, on laisse aller l’éducation avec des retours en arrière religieux, on n’a aucune vision d’avenir.
N’importe qui peut jouer dans nos comptes de banques, c’est pas grave! Ce qui arrive à nos voisins nous indiffère, donnons nos actifs sans compensation à 1% de nos frères Amérindiens en espérant qu’ils nous soient reconnaissant.
Quelques milliers d’individus pourront exercer des pressions énormes sur le droit du travail de 7 millions de citoyens et en arrière plan, une fédération qui tire les ficelles.
Lorsque vous dite:
“il nous faut revenir en arrière, restituer ce qu’on s’est approprié injustement et commencer à parler de partage et de fraternité entre les peuples”.
C’est ce que les Québécois font déjà depuis des siècles, on leur donne tous les privilèges, Ils ont accès à tous nos services gratuits, santé, éducation et autres, ils sont exempts de taxes, on subventionne leurs projets, etc. Peut-on être plus ouvert que cela…
On ne peut pas revenir au temps de la colonie, il faut un respect de soi et constater également ce que l’on a fait de bon!
Si on accepte de faire ce que vous dite, notre disparition va se produire car on ne nous fera pas de cadeaux.
Ce que vous exprimez est exactement le résultat de ce que la propagante veut que vous pensiez, il s’agit d’un conditionnement par le contrôle de l’information, voir mon enquête sur, saglacweb.com, recherchez le texte, Le contrôle de l’information.
Réfléchissez:
La commission Taylor/Bouchard nous demande de nous oublier, de nous effacer, de revenir en arrière. On vous a fait croire que les droits individuelle passe avant les droits collectifs. À quoi servent les lois dans ce cas?
Ça n’allume pas une petite lumière lorsque vous entendez qu’un élève peut aller à l’école avec un couteau, que des femmes voilées peuvent voter, que n’importe qui peut immigrer chez nous et ignorer complètement que nous sommes la majorité et que votre gouvernement prétend s’occuper de votre culture et laisse faire?
Réfléchissez, c’est majeur. C’est un absence tolale de projets de société.
Pour réussir en affaire, comme société ou comme individu, il faut planifier, prévoir, se fixer des objectifs communs.
Nous sommes en présence d’une société brisée et éclatée, seulement des individus, ça été planifié, lorsqu’une société d’état met en onde une émission proposant la fermeture des régions, Bazo.tv, ça c’est planifié, lorsqu’on laisse entrer sans contrôle des milliers d’immigrants sans encadrement, ça c’est planifié, lorsqu’on nomme des négociateurs pour nous représenter dans des traités majeures et qui sont en conflit d’intérêt avec nos valeurs et qui revendiquent nos ressources et ne partie des territoires pour eux-mêmes, ça c’est planifié, la liste est longue.
Je vous trouve sévère envers le Québec. Les Québécois ont dans l’ensemble agit correctement avec les Amérindiens.
Les milliards d’aides et de redevances donnés par les Québécois ont profités à une élite sans créer un impact sur la répartition de la richesse entre les individus. On vous laisse entendre qu’on est responsable, ça c’est planifié, ou sont passé les milliards?
Nous assistons à la création d’un genre de struture seigneuriale dont nous serons les serfs. Un genre d’émirat Amérindien contrôlé par quelques individus et ou le mot démocratie n’aura plus beaucoup de signification.
L’indifférence et l’individualisme ressort de vos propos et je ne veux pas être méchant, croyez-moi: “Payer mon permis de pêche au Hurons-Wendat plutôt qu’au gouvernement provincial, ça change quoi dans ma vie?”
Ça va changer beaucoup de chose dans votre vie, croyez-moi;
Il y aura deux classes de citoyens, ceux qui ont le droit de pêcher et ceux qui ne l’auront pas, des territoires entiers vous seront interdit. On s’en va vers des confrontations majeures. Il y aura également ceux qui ont le droit de travailler et ceux qui devront déménager.
Je ne fait que soulever le voile de ce qui nous attends.
Il est bon d’en discuter et je maintiens ce que j’avance dans le texte, Montréal, le traité de l’approche commune va te faire mal. Vous trouverez ce texte à la rubrique économie sur ce même site.
Merci de commenter, c’est important.
Jean-Pierre Plourde,
saglac@gmail.com
saglacweb.blogspot.com
saglacweb.com
Vous avez beau ne pas être d’accord, les Métis sont une réalité qui s’éveille. Je vous connais bien, cela fait 37 ans que je vous étudie. Ce qui vous permet de parler avec ce mépris contre nous, c’est la jalousie ! Un des traits dominants des Québécois de souche. Ils jalousent les autres et ne font rien. La jalousie et le fait d’avoir été oublié par ses chefs et englobé, depuis la défaite référendaire de 1995, dans le rien d’un tout québécois multiculturel imputable dans une bonne partie aux Péquistes qui ont voulu séduire les arrivants en faisant de vous des franco québécois. Vous avez accepté de mourir. Pas nous !
Vous n’êtes pas d’accord, dites-vous ! Ça change quoi ? Vous avez accepte de mourir, et bien crevez tout seul. Nous, nous vivons et nous affirmons pour l’heure. Demain, nous serons une force politique qui aura une influence décisive sur le vote de l’Indépendance et de l’élection d’un gouvernement fédéral voire québécois. C’est en voyant arriver cela que les gouvernements supérieurs ont entrepris de de nous faire la guerre par tribuanux interposés. Mais ils ne gagneront pas. Car nous ne mourrons pas…
Continuez de vous voir mourir…
Russel-A. Bouchard
]]>Il y a un commentaire dans le journal de Québec d’aujourd’hui en page 17 au sujet de l’origine des Hurons voir le commentaire, Leçon d’histoire de Jacques Noël, de Québec.
Voici son premier paragraphe.
“Les Hurons étaient des Ontariens. Une tribu de quelque 30,000 individus, vivant de pêche, de chasse et de cueillette sur les rives du Lac Huron. Ils furent exterminés par les iroquois en 1649. L’année suivante, les Jésuites amenèrent les 300 survivants à l’Ile d’Orléans. Mais même là, les Iroquois sont venus les achever. En 1697, on parqua les 150 derniers survivants sur les rives de la rivière St-Charles à Lorette”, voir la suite dans le journal de Québec.
Si ces affirmations sont réelles, les Hurons ont-ils vraiment des droits sur ce qu’ils réclament.
Nous sommes tous frères, nous avons des droits et beaucoups nous seront retirés par le traité de l’approche commune, le transfert de propriété des territoires cédés sera unilatérale et on nous refuse le droit de revenir en arrière.
Les concessions accordées sont disproportionnées.
En voici un extrait:
“Le Québec acceptera, de plus, de renoncer aux droits de la Couronne sur ces terres ou, au
besoin, de transférer ces droits aux Innus.
Ce titre assurera aux Innus de Mamuitun la propriété des terres et des ressources renouvelables
et non renouvelables de Innu Assi et leur confirmera l’exploitation des ressources fauniques,
aquatiques, hydriques et hydrauliques, forestières, floristiques et minérales qui se trouvent sur
Innu Assi.”
Ce traité se négocie entre membres de la fédération, vous et moi n’y sommes aucunement représenté, jamais vous n’auriez accepté l’unilatéralité du transfert de propriété des territoires. On ne parle pas ici de collaboration entre Innus et Québécois mais d’expropriation unilatérale des Québécois des territoires qu’on a développé.
Je vous rappelle que c’est un texte officiel, vous retrouverez ces écrits sur le site officiel versuntraité.com
J’utilise abondamment les références dans mes affirmations, je vous invite à les consulter. Entre autre le premier tome du Livre noir du Canada Anglais de Normand Lester, constaterez-vous alors que rien n’a changé depuis la conquête.
Le Canada nous fait la guerre, Jean Chrétien nous l’a dit textuellement et Charles Guyté nous l’a confirmé au cours de la Commission Gomery.
Continuons nos réflexions!
]]>Je vous invite à retenir la dernière phrase de M. Bouchard.
“Au-delà de toute autre force qui se retrouve dans un groupe humain, l’identité, cette conscience d’appartenir à un groupe, constitue la première force, celle qui assure sa cohésion, sa continuité et sa pérennité.”
Voyez-vous M. Tailleur, à défaut de se reconnaitre dans le groupe des Québécois individualistes, amorphes et indifférents de leur avenir, les métis ont l’avantage de comprendre que l’avenir avec nous sera triste et dégradant. Ils refusent de s’associer à cet absence de projet et à la mort de notre culture.
Ces gens ont donc décidés de refuser l’esclavage qui nous est proposé. Ils auront des résultats parce que contrairement à nous, ils relèvent la tête et se tiennent debout.
Puisque notre communauté ne veut pas s’assumer et est prête à se laisser dépouiller de ses biens sans tenir compte de l’héritage de ses descendants, les métis se disent, aussi bien partager les richesses qu’on ne veut pas collectivement avec les Amérindiens.
Qui pourrait leur en vouloir.
Ce ne sont pas les métis qui sont en tord, mais vous et moi qui dormons au gaz.
Ces gens ne demandent pas mieux que de partager leur fièreté. C’est nous qui n’en voulons pas…
C’est mon opinion et une question de point de vue.
Bien à vous,
Jean-Pierre Plourde.
saglac@gmail.com
Pour avoir une réponse claire et limpide, il vous faudrait d’abord lire, au complet, au moins mon livre « La longue marche du peuple oublié », que j’ai publié l’an dernier à compte d’auteur (coût 25$ plus 9$ de frais de port). Tout est là, noir sur blanc, avec une histoire qui mérite d’être lue. Pour couper court, je vais simplement vous citer quelques extraits qu’on retrouve sur ce thème en pages 179-186, sans les références et notes en bas de page. Désolée pour ceux qui aimeraient avoir du tout cuit dans le bec, il faudra creuser pour mieux en saisir toute la subtilité et l’importance
Russel-A. Bouchard
Lien de mémoire de la
Communauté Métisse du Domaine du Roy/Mingan
CITATION DE MON LIVRE :
« Une idée de soi et du monde
Ici, une parenthèse s’impose. L’identité[1] relève du sentiment et, par conséquent, n’est pas une valeur objective[2], comme demande de le considérer la Cour suprême du Canada dans Powley[3], non sans créer cependant une sorte de malaise entre le besoin pour la Cour de rendre justice et l’incontournable nécessité pour l’historien de ne pas sortir du caractère propre à son champ d’analyse. Dans ce sens, avec tout le respect que cela requiert envers ceux et celles sur qui repose la lourde responsabilité de rendre justice au meilleur de leurs connaissances et compétences ; dans ce sens, il faut prendre le temps de préciser que l’identité ne saurait se penser comme un système absolu, figé, imperméable. Si tel était le cas, ce serait la fin du Nous collectif et le point final au présent débat ! Car une telle vision traduirait, au mieux un entendement simpliste tel qu’il peut être véhiculé par le sens commun ; au pire le reflet d’un fantasme idéologique totalitaire obsédé par l’idée de réduire en une seule force réactionnaire tous les ressorts censés la stimuler.
Avant de poursuivre avec l’objet du débat, il faut également convenir que l’identité d’un individu fait partie du mythe qu’il entretient par rapport à lui et à travers le groupe dont il se dit fier d’appartenir. Pour cet individu, c’est une représentation de soi comme membre du groupe, alors que pour le groupe c’est un cadre d’action[4]. En ce qui concerne les Métis, puisque c’est de cela dont il s’agit ici, cette identité a donc des considérations affectives, politiques et pratiques : affectives dans le sens qu’elle fait jouer des fibres passionnels, émotionnels et sentimentaux ; politiques, dans le sens d’une récupération, plus ou moins consciente, d’un certain pouvoir sinon décisionnels à tout le moins d’interférence par rapport aux plus hautes instances du pouvoir national ; et pratiques, dans le sens des droits ancestraux qui y sont rattachés et reconnus en fonction d’un spectre culturel.
Cela dit, dans Powley, la Cour suprême du Canada a établi que « Le mot « Métis » à l’art. 35 de la Loi constitutionnelle de 1982 ne vise pas toutes les personnes d’ascendance mixte indienne et européenne, mais plutôt les peuples distincts qui, en plus de leur ascendance mixte, possèdent leurs propres coutumes et identité collective reconnaissables et distinctes de celles de leurs ancêtres indiens ou inuits, d’une part, et de leurs ancêtres européens, d’autre part. Une communauté métisse est un groupe de Métis ayant une identité collective distinctive, vivant ensemble dans la même région et partageant un mode de vie commun… » Dans le cadre du présent exercice, poser la question c’est y répondre sans faux-fuyant. Il suffit d’observer et reconnaître pour ce qu’elle est la prise en charge identitaire et l’énergie déployée par les clans Métis locaux qui se sont formés autour de la Communauté métisse du Domaine du Roy et de la Seigneurie de Mingan, pour voir à quel point ces gens et ces groupuscules se définissent autrement qu’Indiens, bien qu’ils s’en disent solidaires, et à quel point ils sont inconfortables et refusent toute idée d’être englobés dans les « tiers » (c’est-à-dire les Québécois) dans les termes du projet de traité connu sous le nom de L’Approche commune.
Pour bien saisir l’importance de cette plaidoirie eu égard aux exigences de la Cour suprême, il faut retourner aux sources de l’esprit des lois si bien défini par Montesquieu, et rappeler au lecteur que « dans toutes les sociétés, qui ne sont qu’une union d’esprit, il se forme un caractère commun, [et que] cette âme universelle prend une manière de penser qui est l’effet d’une chaîne de causes infinies, qui se multiplient et se combinent de siècle en siècle »[5]. Qu’est ce que l’identité, si ce n’est le sentiment du Nous (une union d’esprit), l’héritage d’une intelligence collective (un caractère commun) et l’expression d’une continuité (une manière de penser), le premier anneau de la chaîne culturel d’un peuple. Sans cette force, l’union n’est pas possible, et l’adhésion à un groupe, à une communauté, n’est qu’une affaire d’intérêts qui ne vaut que pour les avantages d’un vulgaire négoce. Au-delà de toute autre force qui se retrouve dans un groupe humain, l’identité, cette conscience d’appartenir à un groupe, constitue la première force, celle qui assure sa cohésion, sa continuité et sa pérennité. […]
R.-A. Bouchard
]]>Merci M. Tailleur de votre commentaire.
Je me charge de le faire parvenir à M. Bouchard et l’inviter à venir vous donner sa version.
Jean-Pierre Plourde,
saglac@gmail.com.