Malheureusement, si je veux être compris par mon patron et quelques autres collègues haut placés, je dois être en mesure de discuter, argumenter et négocier en anglais. La réalité veux que le français soit une langue très seconde pour celui qui, par son entreprise du “west-Island” (par laquelle je peux mettre du beurre sur mon pain), à su créer plus de 100 emplois en moins de 3 ans… Et il n’est pas le seul propriétaire d’entreprise dans l’ouest de l’île avec l’anglais comme langue première. Devrions nous imposer le français à ceux qui ont un poid important sur l’économie de la région? Huummmm, je réfléchi…
Oui, il y a un revers à toute médaille, n’en déplaise à plusieurs. Sachez que, pour mettre un peu de baume sur votre plaie, j’ai réussi à faire prendre des cours de français, directement en entreprise (ici), à plus de 20 employés qui ne savait que dire “bonjour”… J’en parle souvent, dans différents blogues, je sais, mais voilà une façon concrète d’agir. Ça fait plus de 8 semaines qu’ils en suivent et je n’ai que de bon commentaires de leur part. Hummmm, je réfléchi encore plus….
]]>