“Et donc, en fin de journée, ce lundi, j’ai rejoint l’attachée de presse du ministre concerné, laquelle me confirma rapidement l’information.”

Plus de 65,265 milliards $ sont dilapidés depuis que Me John James Charest, est le premier ministre des québécois anglophones: OUI. OUI, il est un irlandais de source: dans l’annuaire téléphonique judiciaire du Québec il est écrit Charest, John James, premier ministre du Québec: 514-873-3411 et 418-643-5321;

Frank Audette-Siminski
7-5855 Henri-Bourassa Est,
Montréal-Nord, Québec,
H1G 2V1

La parution d’une opinion douteuse émanant, d’un haut fonctionnaire du MAMROT, faisant l’apologie des violences fascistes, du régime Mussolinien, du début du 20e siècle en Italie sur le site de Cyberpresse, jeudi dernier, comme moyen de mettre un terme au mouvement de grève étudiant a suscité, chez moi, la grogne et l’indignation. Ne s’arrêtant pas là, il pousse l’odieux au sacrilège en affirmant que de tels agissements doivent être considérés comme des actes de saine «salubrité publique». Ces actes de saine «salubrité publique» ne sont pas sans rappeler la propagande haineuse et autres missives meurtrières appelant au « nettoyage social » ;a «l’épuration ethnique»prônées par Staline, Hitler et autres tyrans du même acabit. Sachant que le mouvement politique, auquel l’auteur fait référence explicitement dans ce texte, était à l’époque un adversaire farouche de la Démocratie, des institutions démocratiques et de l’égalité entre les êtres humains, j’en viens à me questionner sur la possible monté d’une droite extrémiste au sein des institutions gouvernementales au Québec. Sans être alarmiste, il faut tout de même s’y attarder.

À cet égard, le fascisme tel que le prônait Mussolini se voulait une extension, aux institutions gouvernementales, d’un sentiment nationaliste poussé à l’extrême qui n’hésitait pas à user de la répression pour mater tout mouvement de contestation politique. J’aimerais croire que cette opinion si insidieuse soit-elle ne puisse être qu’une rhétorique marginale sans incidence mais, en constatant l’état lamentable dans laquelle se retrouve la Démocratie au Québec, je suis a même de constater que celle-ci se veut l’expression évidente d’une dérive autoritaire de notre gouvernance démocratique vers un horizon très peu souhaitable, voire à éviter…