M. Daniel Gagnier, Chef du Cabinet de Jean Charest et délégué d’urgence à Londres en 1995

M. Daniel Gagnier, Chef de cabinet de M. Jean Charest, termine le 1er octobre 2009, son mandat de deux ans comme conseiller principal du Premier Ministre. Ce même Monsieur Gagnier avait été délégué d’urgence auprès du gouvernement Britannique à Londres lors du référendum de 1995 afin de défendre la position canadienne…

Cela devrait vous orienter sur les décisions de M. Charest au cours des deux dernières années et nous mettre en garde contre l’achat de Énergie Nouveau-Brunswick.

Voici un article de presse sur la fin du mandat de M. Gagnier. Cet article a été publié dans par la Presse Canadienne et le Journal de Québec:

Selon son ex-chef de cabinet, Charest est un politicien au sommet de son art

Le directeur de cabinet de Jean Charest, qui quitte ses fonctions cette semaine, a décrit son patron, aujourd’hui, comme un politicien au sommet de son art dont les succès attisent la convoitise sur la scène fédérale.

Daniel Gagnier a déclaré que durant ses deux ans au service de M. Charest, il avait organisé son bureau de manière à ce que le premier ministre puisse donner sa pleine mesure. M. Gagnier, un grand mandarin qui a occupé plusieurs fonctions au sein des gouvernements du Canada, de l’Ontario et de la Saskatchewan, a affirmé qu’il était prêt à revenir aider M. Charest s’il décide de solliciter un quatrième mandat.

M. Gagnier n’a pas voulu se prononcer sur les intentions de M. Charest mais il a tout de même reconnu que son envergure, comme homme d’État et sur la scène internationale, contribue aux spéculations sur son éventuel retour à Ottawa.

Qualifiant ces spéculations de « problème », l’ancien haut fonctionnaire, âgé de 63 ans, a insisté sur le fait que M. Charest se consacre à son travail à Québec et qu’il ne l’avait jamais entendu parler d’ambitions sur la scène fédérale.

Jeudi, le cabinet du premier ministre a annoncé la nomination de Marc Croteau en remplacement de M. Gagnier, qui était entré en fonction en septembre 2007, quelques mois après l’élection d’un gouvernement libéral minoritaire.

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