Commentaires sur : Le poids du nombre https://www.ameriquebec.net/actualites/2009/11/19-le-poids-du-nombre.qc Média québécois citoyen Tue, 08 May 2018 15:49:17 +0000 hourly 1 https://wordpress.org/?v=4.9.25 Par : lerousseau https://www.ameriquebec.net/actualites/2009/11/19-le-poids-du-nombre.qc#comment-12036 Wed, 02 Dec 2009 06:18:32 +0000 http://www.ameriquebec.net/actualites/2009/11/19-le-poids-du-nombre.qc#comment-12036 je viens de lire l’aticle “le poids du nombre” dans lequel on nous fait part entre autre du fait préoccupant des immigrants allophones choisissant de faire leur cégep en anglais même après leurs études premières en français. Se peut-il que ce phénomène repose au fond sur un réflexe de survie pour eux? Les anglais, il faut bien bien le reconnaître, se sont débrouilleés le mieux en affaires jusqu’à maintenant et à ce titre, il ne faut pas s’étonner que ces immigrants recherchent à s’attribuer leur langue, goûts, principes… pour s’assurer une existence meilleure.
Le besoin de survivre est fondamental comme on nous disait jadis que l’arbre de la connaissance du bien et du mal se trouvait au centre du paradis terrestre. Les anglais l’ont compris mieux que nous et y ont investis tout ce qu’ils pouvaient.
Leur stratégie d’éducation première (d’hier à aujourd’hui), c’est de permettre à leur clientèle de décrocher les postes de pouvoir.
Les francophones semblent déconnectés de cette préoccupation -la survie et ses stratégies-, comme si un cléger bienveillant les avaient maintenus dans un état d’inconscience pour mieux les dominer. Ils sont aussi moins solidaires les uns envers les autres que les anglais, les juifs et les arables pour ne nommer que ceux là. Et qui sait, c’est peut-être suite à cette observation qu’Hitler avait proclamé suite à son invasion de la France: “c’est une race en voie d’extinction” (en parlant de nos ancêtres). Il nous faut acquérir de la maturité et passer des rêves à la réalité. Nul espoir s’obtiendra sans la solidatité qui nous fait gravement défaut.

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Par : Marcel Sylvain Tremblay https://www.ameriquebec.net/actualites/2009/11/19-le-poids-du-nombre.qc#comment-11733 Fri, 20 Nov 2009 23:14:13 +0000 http://www.ameriquebec.net/actualites/2009/11/19-le-poids-du-nombre.qc#comment-11733 Ils sont nombreux, lea anglais, dans Montréal et autour, parce qu’ils se considèrent une nation alors qu’ils ne sont en fait qu’une communauté d’immigrants et leurs descendants. Ils ont des médias d’envergure municipale, régionale, provinciale et même inter-provinciale et nationale. Les immigrants et descendants d’autres origines linguistiques ont-ils celà? Peut-être pour certains, mais ça reste quand même communautaire, ça ne s’adresse pas à toute la population, ce sont des réseaux, pas une entreprise d’acculturation systématique comme il se passe avec la langue anglaise.
Serait-il possible de soumettre les médias anglophones qui transgressent leurs limites communautaires à la Charte de la langue française? Il y a sûrement quelque chose à faire de ce côté-là, car ça regarde autant le visage francophone du Québec que l’affichage.
Pour le monde du travail et de l’éducation, il faut continuer à resserrer la vis à la langue anglaise, sans pitié et sans peur, surtout.
La langue officielle du Québec, c’est le français, pas l’anglais; les anglophones doivent se plier à ces contraintes. Autrement dit, il faut qu’il deviennent francophones, rien de moins, comme les autres de même origine linguistique l’ont fait avant eux, par respect et continuité avec la langue du peuple déjà présent ici lors du passage du type de colonie, de française à anglaise, et par après. Ceux qui sont devenus francophones, déjà, on ne les appelle plus des anglophones; on peut les appeler des anglais, ou américains, irlandais, écossais, par extension, avec leurs descendants, mais dans le sens de leur pays d’origine, plus de leur langue d’usage actuel, qui est le français, comme nous. désormais; c’est une familiarité bien connue, pas du tout négative. Nous apprécions ceux qui s’intègrent à nous, et ils le remarquent.
Il est difficile d’intégrer des immigrants au français lorsqu’on n’a pas un contrôle direct, suffisant, adéquat, sur la langue anglaise qui s’infiltre et se répand de toutes parts. C’est bien beau d’instaurer des programmes façades d’intégration pour faire accoire qu’on les intègre, mais s’ils s’éduquent en anglais, travaillent en anglais et s’informent en anglais, ça ne sert absolument à rien. Ils ne deviendront jamais des francophones, et vont continuer à entrer dans les statistiques des anglophones. Une grosse communuauté!
Moi, m. Curzi, je pense que, pour qu’il y ait plus de francophones sur l’île de Montréal et autour, il faut que les anglophones deviennent des francophones, et celà, ça ne peut se faire qu’en agissant sur les médias anglophones qui ont une fonction autre que communautaire, sur le monde du travsil encore anglophone, de même que sur l’éducation. Il faut faire tout ce qu’on peut, dans les limites du possible, rien de moins, avant d’être plus souverain ou indépendant, où là on pourra compléter la tâche avec les nouveaux moyens qu’on se donnera, en plus de ceux qu’on récupérera.

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